Aller au contenu

Strike

BSO Managers
  • Compteur de contenus

    3 071
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    137

Tout ce qui a été posté par Strike

  1. Auteur : Paul Carell - Première parution : 1961 Découvrez l'histoire de Débarquement perçu du côté des allemands avec le dispositif de défense du Mur de l'Atlantique et les contre-offensives après l'attaque du 6 juin 1944. Véritable miroir du livre "Le jour le plus long" de Cornelius Ryan, qui nous dévoilait les préparatifs du débarquement allié et la progression des troupes après celui-ci, "Ils Arrivent" nous relate les faits vécus du coté de l'armée allemande. Si vous êtes curieux de connaître l'etat d'esprit qui régnait au sein de l'Etat Major allemand, et de savoir comment les soldats "côté défense" vécurent le débarquement, ce livre vous en apprendra beaucoup! J'ai beaucoup aimé ce livre, qui raconte avec force détails et au présent les évènements de ce choc militaire qui décida du sort de l'europe. Je l'ai presque lu d'une seule traite, quand on commence on le lâche pas! Il faut tout de même prendre un peu de recul par rapport aux écrits de Carell qui n'est pas réputé pour la neutralité de ses écrits. En effet, Paul Carell, né Paul Karl Schmidt le 2 novembre 1911, mort en juin 1997, était un Obersturmbannführer dans le mouvement civil Allgemeine-SS. Il fut le principal porte parole de Joachim von Ribbentrop, ministre des affaires étrangères du régime National Socialiste. Après la fin de la 2e guerre mondiale, il devint un auteur à succès. Il est particulièrement connu pour des ouvrages décrivant le front de l'est avec un style vif et incisif. Il reste une figure très controversée étant donné son origine politique et son métier premier (un des principaux responsable de la propagande Nazie). Si les historiens souvent ne remettent pas en question les informations factuelles contenues dans les ouvrages, ils mettent en avant le manque criant de prise de recul et de distance. Bio complète : http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Carell
  2. Auteur : Erich Maria Remarque - Date de parution : 1929 Ce roman a été adapté en film par l'américain Lewis Milestone en 1930. Un livre que j'ai lu il y a longtemps, racontant le vie dans les tranchées du point de vue d'un jeune lycéen de 19 ans, engagé volontaire avec le reste de sa classe. Très dur, il nous offre comme "Sie Kommen" le point de vue des allemands, mais cette fois durant la première guerre mondiale. On y voit l'homme martyrisé, ne percevant plus d'ennemi, de victoire ou de défaite, mais juste un espoir de survie chaque jour plus ténu. Un livre écrit par un soldat qui a vécu les tranchées, et qui nous raconte ce que beaucoup n'ont jamais pu raconter.
  3. La 317e Section est un film franco-espagnol réalisé en 1965 par Pierre Schoendoerffer d'après son propre roman écrit en 1963. Nous évoquions, après la sortie de "Forces Spéciales", de la place du réalisme dans le film de guerre ; c'est un film vieux de 46 ans qui nous montre que le réalisme n'est pas l'écueil de l'aventure. Nous avons là une œuvre coup de poing, tournée par un homme qui fut 10 ans plus tôt cinéaste aux armées en Indochine, et qui nous transmet son expérience personnelle avec un talent rare. Sans parti-pris, à la limite du documentaire, Schoendoerffer participe à la révolution du cinéma de guerre de l'époque en rompant radicalement avec les films qui exaltent les aspects les plus spectaculaires de la guerre. Sans grand spectacle, sans grande ambition même, avec beaucoup d'humilité finalement, le réalisateur nous montre simplement la longue marche vers la mort de deux soldats opposés par leur vision de la guerre : un jeune idéaliste prêt à donner sa vie pour la cause, et un vieux briscard plus terre à terre qui traverse les conflits comme on va faire son job. Au-delà de ces schémas simplistes, nous découvrons petit à petit des personnalités complexes, subtilement mises en scènes, qui se dévoilent seulement parce que nous nous intéressons à elles et non par des comportements caricaturaux. C'est là la grande force de "La 317e Section" : elle donne à voir les choses et les gens telles qu'ils existent dans la vie. Même si ce film est une fiction, le procédé m'a beaucoup rappelé "84 Charlie MoPic", qui exploite le principe du faux-documentaire, et autant dans l'un que dans l'autre il est facile d'oublier qu'on regarde un film. Le choix du noir et blanc n'y est pas étranger, et les cadrages, toujours proches des acteurs et sans effets de style, rendent les scènes très intenses ; malgré le temps qui s'est écoulé depuis sa sortie, ce film reste un monument du genre, largement au dessus des productions actuelles malgré des moyens techniques dérisoires. A ne manquer sous aucun prétexte !
  4. [Article posté par Scrat le 25 Aoû 2011] Date de sortie : 02 novembre 2011 Réalisé par : Stéphane Rybojad Pays de production : france Distributeur : StudioCanal je vous laisse découvrir le casting sur cette photo, ce petit interview ainsi que la bande annonce du film ps : avez vous reconnu le dernier homme à l'extrême droite de la photo interview des acteurs : http://www.france24.com/fr/20110515-festival-cannes-forces-speciales-mission-croisette-kruger-magimel Teaser du film : http://www.youtube.com/watch?v=53LWx2TLQc4
  5. Année de sortie : 2007 - Réalisateur : Clint Eastwood Ken Watanabe ... General Kuribayashi Kazunari Ninomiya ... Saigo Tsuyoshi Ihara ... Baron Nishi Ryo Kase ... Shimizu Shido Nakamura ... Lieutenant Ito (as Shidou Nakamura) Hiroshi Watanabe ... Lieutenant Fujita Takumi Bando ... Captain Tanida Yuki Matsuzaki ... Nozaki Takashi Yamaguchi ... Kashiwara Eijiro Ozaki ... Lieutenant Okubo Nae ... Hanako Nobumasa Sakagami ... Admiral Ohsugi Luke Eberl ... Sam (as Lucas Elliot) Sonny Saito ... Medic Endo (as Sonny Seiichi Saito) Steve Santa Sekiyoshi ... Kanda Ce film est la seconde partie d'un dyptique consacré à la bataille d'Iwo Jima, dont la première partie est "Mémoires de nos Pères", du même réalisateur. "Lettres...", c'est avant tout la vision japonaise de la bataille d'Iwo Jima, alors que "Mémoires..." évoque la vision américaine. Ce film très dur montre l'idéologie à laquelle les soldats japonais etaient soumis. Le sacrifice de l'individu en faveur du plus grand nombre amène le commandement à sacrifier un grand nombre d'hommes sur l'autel de la guerre, quand on sait que la possession de cette île n'aurait donné l'avantage tactique à aucun des deux camps... La complexité de la guerre du pacifique ne se résume pas à cette bataille, mais ce film nous permet de voir "de l'intérieur" la manière dont survivent les soldats qui défendent cette île. Ils nous montrent aussi que la barbarie n'est pas nécéssairement dans la culture ou la nature humaine, mais plutot fonction de la place de l'idéologie dans l'esprit de l'homme... Après Mémoires de nos Pères, c'est un film tout aussi dur qui le suit. Ajoutez à cela l'ambiance claustrophobique liée à "l'enterrement" tactique que s'infligent les japonais, et vous mesurerez la dimension dantesque de cet enfer qui s'abat sur cet îlot. Un film à ne manquer sous aucun prétexte!
  6. Année de sortie : 2006 - Réalisateur : Clint Eastwood Ryan Phillippe ... John "Doc" Bradley Jesse Bradford ... Rene Gagnon Adam Beach ... Ira Hayes John Benjamin Hickey ... Keyes Beech John Slattery ... Bud Gerber Barry Pepper ... Mike Strank Jamie Bell ... Ralph "Iggy" Ignatowski Paul Walker ... Hank Hansen Robert Patrick ... Colonel Chandler Johnson Neal McDonough ... Captain Severance Melanie Lynskey ... Pauline Harnois Thomas McCarthy ... James Bradley (as Tom McCarthy) Chris Bauer ... Commandant Vandegrift Judith Ivey ... Belle Block Myra Turley ... Madeline Evelley Ce film est la première partie d'un dyptique consacré à la bataille d'Iwo Jima, à laquelle fait suite "Lettres d'Iwo Jima", du même réalisateur. "Memoires de nos Pères", c'est avant tout la vision américaine de la bataille d'Iwo Jima, alors que "Lettres..." évoque la vision japonaise. Lorsque cinq soldats US hissent le drapeau sur le mont Suribachi, c'est l'occasion rêvée pour l'armée de réveiller le patriotisme des citoyens américains. Eastwood analyse le regard de la société américaine de l'époque sur la guerre du pacifique, mais nous entraîne aussi au coeur des combats, au côté des hommes qui luttent âprement pour chaque pouce de terrain. Il pose les questions du poids du sacrifice, de l'importance de l'idéologie face à la raison, et de la nature des liens qui se créent entre les hommes qui ont combattu ensemble au front... J'ai beaucoup aimé ce film très impresionnant, qui apprend beaucoup sur les "dessous" de la propagande US en faveur de la guere du Pacifique, à une époque ou les américains étaient majoritairement favorables à un retrait des troupes. Mais qui montre aussi que la conquête de cette île, inutile sur un plan géostratégique, fût le moteur qui relança la machine de guerre américaine. Mais on est également sidéré par la dureté des combats, l'immense boucherie qu'entraine un débarquement chez l'assaillant, et la peur qui étreint tous les hommes qui courent vers le feu ennemi...
  7. [Article écrit le 20 Fév 2009] Escape from City 17 Micro-métrage réalisé et produit par Purchase Brothers Réalisateurs : David & Ian Purchase Acteurs principaux & rôles : Inconnus Date de sortie du film : Inconnue Un jeu vidéo mis en image presque tel quel : c'est le pari qu'ont fait Purchase Brothers avec le jeu HL². Pari réussi pour ce qui est du trailer, réalisé avec 1000$, ce qui représente une paille dans cette industrie... Le frères Purchase sont réalisateurs de publicités pour la société Canadienne Son & Daughters (www.sonsandaughters.ca). Ils ont monté ce projet comme un test pour des effets de post-production numérique, et ont depuis été approchés par Valve, créateur du jeu Half-Life. Ils sont toujours en contact avec eux. Selon des sources non-officielles, ils travailleraient actuellement sur le long métrage, à propos duquel Valve se garde bien de communiquer pour l'instant... Ce trailer est très réussi, même si on ne capte pas tout ce qui s'y passe dans le détail, et que les fusillades ne font pas très "pro" d'un point de vue chorégraphique. Le visuel est quasi parfait, même si l'incrustation d'un des deux héros est un peu merdouilleuse sur un plan vers la fin. L'image a de la personnalité, la post prod est efficace, les costumes sentent un peu le "home made" mais l'idée est là : avec un peu plus de budget, si le scénario tient la route, ce serait un bel hommage à faire à ce jeu! Vivement plus d'infos!!!! Part 1 : http://youtu.be/q1UPMEmCqZo La deuxième partie a été produite en 2011 : Part 2 : http://youtu.be/4lyUNs7eNhs Il n'y a donc pas eu de long métrage... pas encore
  8. 84 Charlie Mopic est un film de 1989 réalisé par Patrick Patrick Sheane Duncan mettant en scène une "Long Range Reconnaissance Patrol" durant la guerre du Vietnam. Présenté sous la forme d'un documentaire, il nous donne à voir les images tournées par le cameraman (MoPic), destinées à rapporter à l'Etat Major les "leçons apprises" durant la guerre. La team de 5 soldats, accompagnés par le cameraman et un nouveau Lieutenant, est envoyée au-delà des lignes ennemies, loin des troupes US, livrée à elle-même durant cinq Jours. Le fait que le film ne présente pas les caractéristiques classiques du film de fiction (pas de multi-caméra, pas de bande-son, pas de titre au début du film, pas de crédits avant la fin du film, pas de plans de coupe ou d'effets de montage) donne l'impression que le film nous arrive directement du champ de bataille. Jonathan Emerson .......... LT Nicholas Cascone .......... Easy Jason Tomlins .......... Pretty Boy Christopher Burgard .......... Hammer Glenn Morshower .......... Cracker Richard Brooks .......... OD Byron Thames .......... MoPic Joseph Hieu .......... Truong Nguyen (source wikipedia US) ____________________________ Un film énorme qui, malgré le petit budget, nous donne l'illusion d'être en plein documentaire. Non seulement l'histoire est prenante, mais le propos politique présent en filigrane s'impose de lui même... Loin de la tarte à la crème "la guerre c'est pas bien", et loin aussi des blockbusters actuels, ce film nous montre les choses telles qu'elles sont, de gars qui font leur job du mieux possible en ne comptant que sur eux-même. Sans euphémisme ni surenchère, et nous laisse ensuite seuls face à notre conscience pour nous faire notre idée de la vie de soldats américains durant la guerre au Vietnam. A mon avis, ce film fait partie des très bons films sur la guerre du Vietnam. Merci à Bosco pour m'avoir déniché et offert ce film que je rêvais de voir depuis longtemps ! Jaquette du DVD :
  9. Merci de surveiller votre orthographe, et de ne poster QUE des reviews de films que vous avez vus. Shéma de base à respecter : Dans le titre du post : titre en langue originale - titre en français Photo de l'affiche Nom du réalisateur Acteurs principaux & rôles Date de sortie Bref résumé de l'histoire Votre avis Ne faites pas de copier-coller, rédigez votre propre review (respect des droits d'auteur) En revanche, vous pouvez traduire un résumé qui ne serait pas disponible en français. merci!
  10. Merci de surveiller votre orthographe, et de ne poster QUE des reviews de livres que vous avez lus. Shéma de base à respecter : Photo de la couverture Nom de l'auteur Date de première parution Bref résumé de l'histoire Votre avis Ne faites pas de copier-coller, rédigez votre propre review (respect des droits d'auteur) En revanche, vous pouvez traduire un résumé qui ne serait pas disponible en français. merci!
  11. :: DeLisle .45 Carbine :: J'ai découvert cet étonnant fusil en 2003, en jouant à Day of Defeat, un mod Half-Life se déroulant dans le contexte WWII. Le DeLisle ne faisait pas partie de l'arsenal officiel du mod, mais était un model custom réalisé à l'époque par des fans. Pour vous donner une idée, j'ai enregistrée une courte séquence du jeu dans une version un peu plus ancienne de Day of Defeat, la version beta 1.3b datant de 2001 (clin d'oeil aux fans) : DeLisle Carbine model for Day of Defeat par recondosquad Cependant, si le modèle est bien réalisé, le son du tir est totalement fantaisiste... Voir la vidéo du modèle Real Steel en fin de post pour vous en rendre compte. Ce fusil a été conçu en 1942 par William De Lisle. Il est basé sur un Lee-Enfield Mk III converti en .45 ACP par une modification du receiver, de la culasse et de la tête de culasse, et par le remplacement du canon par celui, modifié, d'une Thompson. En lieu et place des magasins usuels du Lee-Enfield, le DeLisle utilise des magasins modifiés de Colt 1911A1. Le DeLisle .45 Carbine de profil : La principale caractéristique du DeLisle est son suppresseur extrêmement efficace, ce qui fait qu'il est très silencieux dans l'action : le volume sonore du tir est inférieur à celui de la culasse chambrant une cartouche ! Les canons de Thompson ont été modifiés pour permettre une libération lente de gaz haute pression. Le Delisle est précis à 250 mètres. Le suppresseur de 2 pouces (5,1 cm) de diamètre, part de l'arrière du canon pour aller jusqu'à la bouche, offrant un très grand volume pour contenir les gaz produits par le tir. Ce grand volume a été l'une des clés de l'efficacité de la suppression. Le DeLisle a été fabriqué en très petit nombre : 129 unités ont été produites au cours de la période de 1942 à 1945 en trois variantes (un prototype Ford Dagenham, une série par Sterling production et un prototype pour les troupes aéroportées). Il a été utilisé par les Commandos Britanniques et autres forces spéciales durant la seconde guerre Mondiale. Grâce à l'utilisation d'une munition subsonique, le fusil est extrêmement silencieux, et demeure probablement l'un des plus silencieux jamais conçu. En bonus, un article paru dans W&E Guide N°69 : Infos additionnelles : http://www.rifleman.org.uk/The_DeLisle_carbine.htm
  12. :: SS Belt Buckle Guns :: Voici une curiosité que j'ai découverte récemment,et qui nous prouve une fois de plus que les "backups" ont leur place partout! Cette boucle de ceinture de taille à peine supérieure à une boucle standard dissimule un canon vertical à quatre bouches de calibre 22. Ce type d'arme n'a jamais été reconnu comme une arme fournie à titre officiel, et reste très marginale. Cependant, il semble d'après mes lectures que de nombreux modèles, tous très différents les uns des autres, ont été produits : http://www.forgottenweapons.com/another-bogus-belt-buckle-pistol/ Et bien que ces fabrication aient très probablement été des commandes réalisées par des ouvriers isolés, plutôt que des firmes reconnues, il semble exister un brevet déposé en 1935 par Louis Marquis, W. Elberfeld. La plupart des articles qui traitent de ces boucles rapportent que les "vraies" boucles, d'époque, et fournies en cadeau personnels à quelques haut dignitaires nazis, n'auraient été fabriquées qu'à une dizaine d'exemplaires. Le reste n'étant que des reproductions post-guerres destinées à des collectionneurs. Les boucles authentiques sont donc aujourd'hui extrèmement rares, et sont de véritables objets de musées http://fr.1001mags.com/parution/gazette-des-armes/numero-386-avril-2007/page-28-29-texte-integral
  13. Strike

    [TDI] KRISS Vector SMG

    Le TDI KRISS Super V XSMG est un pistolet mitrailleur chambré en .45 ACP et en .40 SW fabriqué par Transformational Defense Industries en 2006 sur la base des brevets déposés par Renaud Kerbrat en 2003. L'énergie du recul est absorbée grâce a l'utilisation d'une masse mobile se déplaçant vers le bas lors du mouvement de la culasse vers l'arrière sous l'action des gaz, cette masse exerçant une action opposée au relèvement en étant liée à la culasse par une biellette dont l'angle est calculé pour obtenir une vitesse de déplacement et une amplitude précises, la résultante étant inversement proportionnelle au déplacement de l'arme dû au recul. Le canon est aussi aligné avec la main et l'épaule du tireur. Combinés, ces facteurs permettent de mieux maîtriser le recul et le relèvement de l'arme, notamment en tir automatique. Une version civile tirant en semi-automatique uniquement et dotée d'un canon long ressemblant à un silencieux est également disponible : (source Wikipédia)
  14. Strike

    [General Dynamics] MK19

    :: MK19 Grenade Launcher :: Le Mk 19 Grenade Launcher est un "lanceur automatique de calibre 40 alimenté par bande", ou une "mitrailleuse grenade", entré en service dans l'US Army pendant la guerre froide, avec une première intervention pendant la guerre du Vietnam et toujours en service aujourd'hui. La Mk 19 est une arme entièrement automatique, alimentée par bande, fonctionnant par recul de culasse, refroidie par air, servie par une équipe dédiée, conçue pour ne pas subir de phénomène de mise à feu accidentelle dans le canon (Cook off). Il tire des grenades de 40 mm à un rythme cyclique de 325 à 375 coups par minute, soit un taux de pratique de tir de 60 coups par minute (rapide) et 40 coups par minute (soutenu). L'arme fonctionne sur le principe de recul de culasse, qui utilise la pression de la chambre obtenu lors de chaque tir pour chambrer et réarmer l'arme. Le 19 Mk est capable de lancer sa grenade à une distance maximale de 2.212 mètres, mais sa portée effective d'un point cible est d'environ 1.500 mètres. La plus proche distance de sécurité pour lancer la grenade est de 75 mètres. Bien que le MK 19 soit pourvu d'un cache-flamme, servant à préserver le champ de vision de l'opérateur, celui-ci ne peut dissimuler la position de l'arme. Pour l'exploitation de nuit, un dispositif de vision nocturne AN/TVS-5 peut être installé. Ça commence à chauffer à 5:20 Les forces armées Suédoises sont équipées de cette arme sous le nom de Granatspruta 40 mm (Grsp).
  15. Puissance de feu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La puissance de feu est une notion qui synthétise diverses caractéristiques d'une arme à projectile, notamment des armes à feu. Elle exprime la capacité de destruction (liée à la taille et à la nature des projectiles) et la cadence de tir. Ainsi, un pistolet semi-automatique de 9 mm Parabellum équipé d'un chargeur de 15 cartouches offrira, grâce à la capacité de son chargeur, à la rapidité du tir en simple action et à la rapidité de rechargement, une puissance de feu supérieure à celle d'un revolver à 6 chambres .357 Magnum. Cette notion, assez floue car sans définition très précise, est bien distincte de celle du pouvoir d'arrêt ou du pouvoir vulnérant. Par généralisation, le terme de puissance de feu s'utilise aussi pour désigner la capacité offensive d'une unité ou d'un équipement de combat.
  16. Pouvoir d'arrêt Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le pouvoir d'arrêt est la capacité d'une munition à mettre un adversaire hors de combat dès le premier impact provenant du tir d'une arme à feu. La notion est souvent confondue avec l'idée controversée selon laquelle l'impact s'accompagne d'une onde de choc qui « assomme » la cible en comprimant très vite et temporairement les tissus donc, entre autres, en augmentant la pression artérielle. Le pouvoir d'arrêt est une notion statistique exprimant une probabilité de neutralisation immédiate alors que le pouvoir vulnérant correspondrait, peu ou prou, au produit de l'énergie de la balle et de sa surface frontale. Un pouvoir d'arrêt supérieur est l'un des critères qui justifie pour certains l'emploi d'une munition de fort calibre, telle que le .45 ACP, alors même qu'elle présente un mauvais rapport entre l'énergie dissipée lors de l'impact et le recul produit mais également un encombrement et une masse plus importants que ceux des petits calibres. L'effet d'une munition sur l'organisme est encore mal compris, notamment en raison de l'impossibilité morale évidente de mener des expérimentations in vivo. On utilise souvent de la gélatine balistique ayant des propriétés proches (élasticité, limite de rupture) des tissus humains, mais la modélisation reste imparfaite notamment parce qu'un organisme n'est pas homogène.
  17. Pouvoir vulnérant Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le pouvoir vulnérant correspond à la quantité de dommages qu'une munition d'arme à feu (balle) occasionne dans des tissus vivants. Une balle de gros diamètre s'enfonçant profondément dans sa cible en expansant autant que possible détruira un plus grand volume de tissus. C'est, surtout pour les munitions lentes, le principal facteur d'amélioration du pouvoir d'arrêt. Le diamètre relativement important du .45 ACP, par exemple, permet de transmettre une forte part de l'énergie de la balle à la cible donc d'augmenter les chances de toucher un organe vital. Les munitions militaires comme la 5,56 mm OTAN se fragmentent également après un impact à courte portée (jusqu'à 100 mètres), provoquant une destruction des tissus considérable.
  18. Étuis et Douilles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot étui désigne l'élément d'une munition qui solidarise tous les autres, et abrite la charge propulsive et l'amorce. Il désigne ce composant lorsqu'il est destiné à une arme individuelle, donc de calibre inférieur à 14 millimètres (pour une arme contemporaine) ou 20 millimètres (pour une arme ancienne). Le mot douille est préféré pour les autres armes, en particulier les fusils à âme lisse, et les obus de pièces d'artillerie. Source
  19. Chargeurs et Magasins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un chargeur ou magasin est la partie d'une arme à feu où les cartouches sont stockées avant d'être chambrées puis percutées. Généralement, on utilise le terme « magasin » lorsque cette partie est incorporée dans l'arme (fusil à pompe par exemple), et « chargeur » lorsqu'elle est amovible (fusil d'assaut type M16 ou Ak47 par exemple). Source
  20. :: LES PROTECTIONS OCULAIRES en AIRSOFT :: Test OTAN des lunettes BOLLE X90BPSI > INTRODUCTION Je suis tombé sur un document très intéressant concernant les normes de sécurité de nos chères protections oculaires, compilé par la FédéGN : Lien direct vers le dossier PDF : http://www.mediafire.com/view/bck5w8xnb19bn3b/L'airsoft_et_les_protections_oculaires.pdf Les optiques des Bollé Viper, que j'utilise (que j'utilisais jusqu'à aujourd'hui, en fait) depuis mes débuts en airsoft, sont à la norme EN 166-F. C'est à dire qu'elles protègent contre des impacts à faible énergie : 45 m/s en 0.86g (soit 300 fps en 0.20g ! oui vous avez bien lu, 300 fps...). - Nos répliques flirtent allègrement avec les 400 fps, et sont susceptibles d'être poussées jusqu'à la limite légale de 460 fps : l'accident guette le porteur de lunette à la norme EN 166-F ! EN 166-B protection contre impacts à moyenne énergie La norme qui suit l'EN 166-F est la EN 166-B. C'est à dire que les protections qui portent cette norme protègent contre les impacts à moyenne énergie : 120 m/s en 0.86g (soit 810 fps en 0.20g). Les seules protections oculaires adaptées à nos puissances courantes sont donc à la norme EN 166-B. - Cependant, au sein du RPRC, les répliques d'armes de chasse destinées au snipe peuvent légalement être upgradées jusqu'à 1032 fps : en cas de tir direct, l'accident guette le porteur de lunette à la norme EN 166-B ! EN 166-A protection contre impacts à haute énergie La norme qui suit l'EN 166-B est la EN 166-A. C'est à dire que les protections qui portent cette norme protègent contre les impacts à haute énergie : 190 m/s en 0.86g (soit 1270 fps en 0.20g). Les seules protections oculaires adaptée aux puissances extrêmes du RPRC sont donc à la norme EN 166-A. Il est vrai que j'ai utilisé les Bollé Viper pendant 4 ans sans le moindre incident, et que j'ai pu tirer à bout portant deux billes de 0.20g à 430 fps sans casse. Mais le risque existe, et il faut en être conscient. Pour une protection optimale, il est donc impératif que vous soyez équipés au minimum en protections oculaires certifiées EN 166-A ! Et là c'est le drame : Bollé Safety ne propose aucun modèle à la norme EN 166-A. Il nous faut donc nous intéresser à une autre norme : la STANAG. ___________ > NORME STANAG 2920 V50 Contrairement à la norme EN-166, elle n'est pas reconnue par les assureurs (c'est une norme militaire OTAN). Mais bon, le but étant de se protéger des accidents, et non pas de faire appel à nos assurances, autant en tirer avantage ! STANAG 2920 V50 protection contre impacts à haute énergie Bollé Safety proposent donc 9 modèles à la norme "STANAG 2920 V50" : j'ai ajouté en face la puissance limite de protection pour un projectile 0.20g Evidemment, Bollé n'est pas le seul fabricant à proposer des modèles certifiés, j'ai pris cette marque comme exemple parce que c'est celle de mes Viper. INVADER: OK jusqu'à 1270 fps RAID : OK jusqu'à 1270 fps ROGUE : OK jusqu'à 1270 fps X90BPSI : OK jusqu'à 1270 fps X500 : OK jusqu'à 1037 fps X800 : OK jusqu'à 1037 fps X900 : OK jusqu'à 1228 fps 1000 Double Ecran : OK jusqu'à 1810 fps X1000 : OK jusqu'à 1270 fps Je me suis posé la question : pourquoi une protection militaire ne protège "que" jusqu'à 1810 fps ? Je n'ai pas trouvé de réponse "vérifiée" à cette question. Mais en y réfléchissant deux secondes, j'ai réalisé que ces lunettes ne sont pas prévues pour être par-balle : à titre d'exemple, les visières des casques CRS le sont, et pèsent plus d'1 kg ! Elles sont donc destinées à protéger les yeux contre les débris, éclats, et gravillons qui peuvent êtres projetés à grande vitesse au visage de l'opérateur. Et il est probable que ces débris dépassent rarement les vitesses de 1800 fps. ___________ > CONCLUSION à l'attention des membres du Squad et des joueurs participants à des OP RPRC - N'UTILISEZ PAS de protections non-certifiées. - N'UTILISEZ PAS de protections EN-166F. - N'UTILISEZ PAS de protections EN-166B. - UTILISEZ des protections oculaires certifiées aux normes suivantes : ► Norme EN-166A ou ► Norme STANAG 2920 V50 assortie de la valeur minimale 628.98km/h (174.72m/s) Quelles que soit le site qui vous vend vos protections, quelle que soit l'activité pour laquelle les protections sont proposées, REFUSEZ systématiquement les protections non-certifiées ! Quelques fabricants proposant des certifications STANAG ou équivalent : - BolléTactical - Arsenik Tactical Eyes - ESS - Revision Eyewear - Wileyx - Oakley Attention : ce n'est pas la marque qui garantit la protection balistique, mais la certification. Bollé et Oakley, par exemple, vendent des lunettes non protectrices ET des lunettes protectrices... A vous donc de vérifier que le modèle que vous voulez est certifié ! Bon jeu à tous !
  21. Vous avez reçu votre nouvelle réplique et vous voulez nous faire partager votre découverte? Organisez vos infos en suivant ces quelques pistes pour que votre review soit la plus complète possible : 1 : déballage - description de l'emballage - contenu de la boite - premier contact visuel avec la réplique (beau/pas beau, solide/pas solide...) 2 : prise en main - description de la réplique - ajustement des premières impressions avec la prise en main aprofondie - premières critiques sur le fonctionement, la prise en main, le poids... 3 : alimentation et tests de tir - détails de la procédure de chargement (facile/pas facile, long/rapide...) - efficacité des organes de visée - résultats des tests (fps, précision, portée (avec plus ou moins de détails) 4 : si possibilité de démontage, l'intérieur de la bête - détails de l'assemblage du corps - système de mise en place de la méca - qualité de l'intérieur de la méca (qualité du calage/graissage pour un aeg, jeu des pièces pour une réplique à gaz...) 5 : conclusion avec tests en jeu et liste de + et des - plus tout ce que vous pouvez avoir envie d'ajouter ET N'OUBLIEZ PAS LES PHOTOS!!!
  22. Où trouver ? Que choisir ? Les solutions sont ici -> https://recon.forumactif.fr/f64-equipement
×
×
  • Créer...