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CamS

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  1. J'aime
    CamS a réagi à Strike dans [3] LISTE DES CONCURRENTS SÉLECTIONNÉS   
    Messieurs,
    voici la liste des concurrents qui disputeront le Trophée du 7e Challenge de la Plume Blanche ! (les binômes sont présentés dans l'ordre d'inscription)

    1 Slots "Silver Feather" a été attribué à un binôme ayant rendu service à l'organisation :
    01 - Team ASP : Dragon / Blanketou - (rookies) 6 Slots "Rookie" ont été attribués à des concurrents n'ayant jamais pris part au Challenge :
    02 - Team FLAM'S : Wizard (vétéran 2016) / Capt Flam (rookie) 03 - Team M2A : Blackout (vétéran 2015-2016) / Gary (rookie) 04 - Team 11 DE PIQUE : RED_recon (rookie) / Choukoum (rookie) 05 - Team BITCH I OPERATE : Kraken (rookie) / Kojak (rookie) 06 - Team TANGO 3 MILSIM : AzArus (rookie) / Murdoc (rookie) 07 - Team KOMANDO PHENIX : Benounn (vainqueur 2015) / Squall41269R (rookie) 3 Slots "Veteran" ont été attribués à des concurrents ayant déjà pris part au moins 1 fois au Challenge :
    08 - Team TANDEM TACTICAL : Lo0pinG / Sametonjack  - (vétérans 2016) 09 - Team ATACS06 : Six / Swan  - (vétérans 2016) 10 - Team DELTA CORSE : 117 (vétérans 2016)  / Boubablood pour finir, le slot d'honneur "Gold Feather" 2016 a été attribué à un binôme qui tient une place particulière dans nos cœurs et dans l'histoire du Challenge :
    11 - Team FRANCO-BELGE/VETERAN FEATHER : Mino / Snowwolf (8 ans d'ancienneté sur le Challenge, ça va les gars, ça pèse pas trop lourd sur vos vieilles épaules ? :p) Comme nous le craignions, le choix a été difficile. Cette sélection n'est pas un jugement de valeur, et les binômes écartés ne doivent pas croire que nous les pensons "inférieurs" aux binômes choisis. Notre priorité a été de sélectionner l'un après l'autre les binômes qui nous semblaient être le plus en adéquation avec la philosophie du Challenge et avec ses particularités techniques ; si vous n'êtes pas embarqués cette année, c'est qu'il vous faudra encore vous documenter sur le Challenge, vous "nourrir" de l'expérience des vétérans, et affûter vos aptitudes. La prochaine sera sans doute la bonne
    Quand à ceux qui ont été sélectionnés, vous disposez sans aucun doute des compétences et de l'expérience nécessaire pour aller jusqu'au bout de cette aventure et remporter la victoire. Il ne tient qu'à vous de faire les bons choix et de ne pas vous saborder en route : "on improvise, on s'adapte et on domine" ! 
    Vous allez recevoir très bientôt, dans vos messages privés, votre dossier d'inscription à nous renvoyer rempli, complété et signé, accompagné de votre règlement. C'est lors de la réception de ce dernier que votre inscription sera définitivement enregistrée. Vos ordres de mission suivront alors. Dans l'intervalle, vous pouvez commencer à régler vos répliques et préparer vos sacs... vous perdez déjà du temps.

     
  2. J'aime
    CamS a reçu une réaction de Strike dans Comptes Plume Blanche 2016   
    L'archevêque es une ruine 
    Encore merci à vous pour cette transparence et tous votre boulot pour organiser cette belle Op.
  3. J'aime
    CamS a réagi à Strike dans Comptes Plume Blanche 2016   
    Voici donc un récap des recettes et dépenses liées à l'organisation du Challenge 2016 :

    Recettes :

    20 inscriptions à 47 €

    TOTAL = 940 €

    ------------------------------------------

    Dépenses :

    Viande : 240 €

    - Merguez + Chipos (2 de chaque/pers) = 240 €
     

     
    Accompagnements : 50 €

    - 6 packs Cristalline = 4,08 €
    - 2 packs de 12 Heineken = 16,40 €
    - 4x1.5L Liptonic = 5,48 €
    - 4x2L Oasis = 6,88 €
    - Cubi Bordeaux = 10,77 €
    - 3 Sachets Chips 200g = 6,45 €

    Barbecue : 16 €

    - Charbon de bois (1 sac 70L) = 16 €


     
    Matériel dédié : 233 €

    - Impression affiches = 20 €
    - 10 Cyalumes = 30 €
    - Toner pour imprimante laser (impression 11 dossiers Tight Belt) = 45 €
    - PVC pour 11 boîtes aux lettres = 138 €
     

     

     

     
    Locations = 265 €
    - camion de transport = 100 €
    - 2 spots = 165 €

     
    Goodies = 182 €
    - Impression 3D du Trophée = 42 €
    - Dog-Tags souvenirs = 140 €
     
    TOTAL = 986 €
    Le différentiel de 46 € et les dépenses additionnelles de 753 € (voir ci-dessous) sont pris en charge à titre personnel.
     
    ---------------------------------------------------------------
     
    Dépenses additionnelles prises en charge à titre personnel :
     
    Tenue Archevêque : 599 €

    - Stikharion = 205 €
    - Reste de la tenue = 244 €
    - Barbe postiche = 150 €
    Non-chiffré :
    - Impression 3D de la croix pectorale 
    - Chaînette de la croix
    - Livre liturgique orthodoxe
    - Bois pour crosse
    - Tissu pour le Klobuk (chapeau)
    - 2 Chasubles pour les sous-diacres
     

     

     
    Accessoires = 154 €
    - Patchs russes = 135 €
    - Drapeau Novorossia = 19 €
    Non-chiffré :
    - Bois / peinture / visserie pour barrières 
    - 11 Boitiers fibre + fil nylon + gaine thermo
    - Chalumeau pour gaine thermo
    - Visserie pour fixation des boitiers
    - Uniforme Ivanichvili
    - Valise + menottes
    - Impression couleur des couvertures pour les fac-similé de dossiers Tight Belt

     

     

     

     

     
    Pour conclure, nous tenons à remercier chaleureusement tous les patrouilleurs, qui ont gratuitement mis à disposition du staff leurs véhicules aux fins de projection et récupération des personnels. Sans vous, la Plume n'aurait clairement pas la même saveur... Merci à tous !
  4. J'aime
    CamS a reçu une réaction de Strike dans RPRC #3 - WOLF STONE /// 3-4/12/2016 /// SHELTER   
    C'est en effet bien dommage,
    Quand Montagne, a pris contact avec moi avant l'OP pour m'informer que la mission était compromise, j'ai dis OK organisons nous différemment et ensemble sur place.
    Une fois sur Zone, Montagne me dis être au restaurant, nous vous avons rejoins. 
    Et la personne ne voulait remuer, nous vous avons alors dis que nous, nous maintenions la mission, avec une insertion part nos propre moyen et que nous verrons sur site comment réaliser notre mission. 
    A ce moment, si l'ensemble des groupes c'était mobiliser cela aurait éviter pas mal de problèmes.
    Notamment, le fail de la mission de Bravo, nos tentatives de réalisation de mission...
    Je pense que nous aurions pu être beaucoup plus percutant lors de notre assaut avec vous, et  si Montagne avait choisi les bois et l'airsoft à la masturbation intellectuelle, nous aurions ensemble réussi à faire quelque chose. 
    Hors Montagne sur de lui, et de ces capacités, a mis en échec la mission de Bravo, vous a contaminé avec son esprit de Super Milsimeur, qui ne réalise que des missions "réalisable" au détriment de ceux qui veulent juste profitez et essayer peut importe l'issue de la mission.
    L'airsoft reste un jeu les gars, je ne viens pas pour être le meilleur ou gagné mais juste pour profitez d'OP immersive avec mes potes. Si ma mission est vouée à l'échec, peut importe, je la realise au moins pour ceux d'en face. 
    Bref, désolé pour toutes vos enmerdes les gars, curieux de vous rencontré en de meilleur circonstance, lors d'une prochaine OP. 
    Et encore une fois, car à mon sens tous viens d'eux, et Delta n'a rien à se reprocher sauf le faite de s'être laisser embarquer par Montagne !!
    Merciiiiiii les gars du groupe Montagne 
    Et merci à Delta pour ce débriefing, et la reconnaissance de vos erreurs, rien que pour ça, j'ai hâte de vous voir en vrai!! Enfin, sur un terrain en pratique quoi
     
     
     
  5. J'aime
    CamS a reçu une réaction de OZiK dans RPRC #3 - WOLF STONE /// 3-4/12/2016 /// SHELTER   
    C'est en effet bien dommage,
    Quand Montagne, a pris contact avec moi avant l'OP pour m'informer que la mission était compromise, j'ai dis OK organisons nous différemment et ensemble sur place.
    Une fois sur Zone, Montagne me dis être au restaurant, nous vous avons rejoins. 
    Et la personne ne voulait remuer, nous vous avons alors dis que nous, nous maintenions la mission, avec une insertion part nos propre moyen et que nous verrons sur site comment réaliser notre mission. 
    A ce moment, si l'ensemble des groupes c'était mobiliser cela aurait éviter pas mal de problèmes.
    Notamment, le fail de la mission de Bravo, nos tentatives de réalisation de mission...
    Je pense que nous aurions pu être beaucoup plus percutant lors de notre assaut avec vous, et  si Montagne avait choisi les bois et l'airsoft à la masturbation intellectuelle, nous aurions ensemble réussi à faire quelque chose. 
    Hors Montagne sur de lui, et de ces capacités, a mis en échec la mission de Bravo, vous a contaminé avec son esprit de Super Milsimeur, qui ne réalise que des missions "réalisable" au détriment de ceux qui veulent juste profitez et essayer peut importe l'issue de la mission.
    L'airsoft reste un jeu les gars, je ne viens pas pour être le meilleur ou gagné mais juste pour profitez d'OP immersive avec mes potes. Si ma mission est vouée à l'échec, peut importe, je la realise au moins pour ceux d'en face. 
    Bref, désolé pour toutes vos enmerdes les gars, curieux de vous rencontré en de meilleur circonstance, lors d'une prochaine OP. 
    Et encore une fois, car à mon sens tous viens d'eux, et Delta n'a rien à se reprocher sauf le faite de s'être laisser embarquer par Montagne !!
    Merciiiiiii les gars du groupe Montagne 
    Et merci à Delta pour ce débriefing, et la reconnaissance de vos erreurs, rien que pour ça, j'ai hâte de vous voir en vrai!! Enfin, sur un terrain en pratique quoi
     
     
     
  6. J'aime
    CamS a réagi à OZiK dans RPRC #3 - WOLF STONE /// 3-4/12/2016 /// SHELTER   
    Retex Team Delta.
    Tout d'abord désolé pour ce retex très tardif. Ce feedback va être assez rapide et vous allez comprendre pourquoi.
    Après 3h30 de route nous arrivons sur Sospel sur les coups de 18h pour prendre contact avec Montagne. Sur le trajet Montagne nous contacte pour des informations importantes " la mission est compromise et quasi impossible de vous insérez comme c'était prévu".
    Nous prenons contact dans un café avec Montagne pour élaborer un plan B. Je passe les détails de ce premier contact après plus d'une heure de débat pour essayer de trouver des solutions pour réalisé notre mission. Pour Montagne la seule chose à faire est de d'attaquer le premier checkpoint sur le chemin du bunker pour tenter une percé. Et d'avancer ainsi ver le second checkpoint puis l'entrée du Bunker etc...
    N'étant pas équipé pour ce changement de mission nous y allons quand même. On prend un gros coup au moral car nous avions préparé notre mission pour notre objectif principal qui était de s'infiltrer discrètement dans le complexe et de détruire une cache d'arme au sein du Bunker. Autant dire que nous sommes très limité pour attaquer un poste de surveillance.
    Bref nous y allons en bagnole pour ce rapprocher au maximum du checkpoint. A peu prêt à 1km du point nous tombons en rade de gasoil " bug du témoin électronique de la jauge :/ ". Pas grave nous redescendons sur Sospel pour faire le plein et remonté ensuite. Entre temps nos gars s'équipe. Arrivé à Sospel la station est fermé. Station la plus proche Menton. Impossible d'y aller seul si on tombe en panne sèche on est dans la mouise. On contacte nos gars pour nous escorter jusqu'à Menton. Les gars ce déséquipe et nous rejoigne.
    La ça commence légèrement à nous fatiguer. Bref go pour 40min de route en roues libre. Arrivé à la station grosse démotivation de la team Delta et pour être polis on en a ras les cacahuètes, on a vraiment la poisse aujourd'hui.
    Pour remonter sur le checkpoint il faut refaire 50min de route. Le ras le bol total prend le dessus nous contactons Strike et nous quittons l'OP.
    Je tiens à préciser que nous ne mettons en cause personne lors de cette OP. Nous aurions du nous remotiver et faire preuve de plus de conviction pour réaliser notre mission de base qui était réalisable. Nous aurions du prendre en compte les infos de Montagne mais surtout aller sur le terrain pour confirmer ces infos. Car au final après discussions avec quelques présent lors de cette OP. Notre mission était réalisable.
    Cette OP nous a servi de leçon car c'est pas notre genre de déserter comme on l'a fait. Sur le chemin du retour on s'est senti un peu beaucoup "couilles molles".
    J'espère que vous serez indulgent avec nous et ne pas nous blacklister pour autant. On a déconné c'est une certitude.
    Toute l'association de la Squad Zero présente ses excuses à Strike mais pas que... Nous présentons aussi nous excuses au groupe Alpha et Bravo qu'on à laissé tombé sur ce jour la.
    Merci de m'avoir lu et croyez moi on ce rattrapera !
  7. J'aime
    CamS a reçu une réaction de Messer Schmitt dans RPRC #3 - WOLF STONE /// 3-4/12/2016 /// SHELTER   
    C'est en effet bien dommage,
    Quand Montagne, a pris contact avec moi avant l'OP pour m'informer que la mission était compromise, j'ai dis OK organisons nous différemment et ensemble sur place.
    Une fois sur Zone, Montagne me dis être au restaurant, nous vous avons rejoins. 
    Et la personne ne voulait remuer, nous vous avons alors dis que nous, nous maintenions la mission, avec une insertion part nos propre moyen et que nous verrons sur site comment réaliser notre mission. 
    A ce moment, si l'ensemble des groupes c'était mobiliser cela aurait éviter pas mal de problèmes.
    Notamment, le fail de la mission de Bravo, nos tentatives de réalisation de mission...
    Je pense que nous aurions pu être beaucoup plus percutant lors de notre assaut avec vous, et  si Montagne avait choisi les bois et l'airsoft à la masturbation intellectuelle, nous aurions ensemble réussi à faire quelque chose. 
    Hors Montagne sur de lui, et de ces capacités, a mis en échec la mission de Bravo, vous a contaminé avec son esprit de Super Milsimeur, qui ne réalise que des missions "réalisable" au détriment de ceux qui veulent juste profitez et essayer peut importe l'issue de la mission.
    L'airsoft reste un jeu les gars, je ne viens pas pour être le meilleur ou gagné mais juste pour profitez d'OP immersive avec mes potes. Si ma mission est vouée à l'échec, peut importe, je la realise au moins pour ceux d'en face. 
    Bref, désolé pour toutes vos enmerdes les gars, curieux de vous rencontré en de meilleur circonstance, lors d'une prochaine OP. 
    Et encore une fois, car à mon sens tous viens d'eux, et Delta n'a rien à se reprocher sauf le faite de s'être laisser embarquer par Montagne !!
    Merciiiiiii les gars du groupe Montagne 
    Et merci à Delta pour ce débriefing, et la reconnaissance de vos erreurs, rien que pour ça, j'ai hâte de vous voir en vrai!! Enfin, sur un terrain en pratique quoi
     
     
     
  8. J'aime
    CamS a reçu une réaction de Strike dans RPRC #3 - WOLF STONE /// 3-4/12/2016 /// SHELTER   
    Mais non, il faisait bon, en tout cas sur la crête avec une légère brise, on était bien 
    Merci encore pour pour cette OP  
  9. J'aime
    CamS a reçu une réaction de Strike dans RPRC #3 - WOLF STONE /// 3-4/12/2016 /// SHELTER   
    Merci, pour votre RETEX les gars ! 
    Nous avons tenté (ALPHA) l'assaut à 7 en espérant permettre à BRAVO une entrée ou une avancée. Sans réel espoir mais à un moment, après 45min à moins de 40m de vous sur les hauteurs nous devions bien faire feu et tenté une percée.
     
    Merci à vous pour cette échange plus que sympa quand même !
  10. J'aime
    CamS a reçu une réaction de Strike dans RPRC #3 - WOLF STONE /// 3-4/12/2016 /// SHELTER   
    Bon et bien à nous alors,
     
    Premièrement et comme à chaque fois avec BSO, l’organisation est parfaite et transparente, nous recevons nos infos, et OM rapidement, et toujours complètes cela permet une bonne perception de la mission pour une bonne organisation. La copie des autorisations du terrain... PERFECT SIR 

    Bref un énorme bravo de plus à ton compteur STRIKE.
    Alors que nous étions en regroupement avec tous les DV avant de nous mettre en chemin, je reçoit un appel de MONTAGNE désirant discuter de la mission. Il me demande donc d’être la plutôt, si possible afin que nous ré-organisions cela, la mission n'étant à priori pas réalisable pour eux. Malheureusement, cela nous est impossible car nous avions organiser notre arrivée pour 20h sur le premier point de RDV.


    20.00
    Nous arrivons donc sur le point de RDV avec MONTAGNE, point sur lequel nous devions leurs remettre tous notre matériel, afin de pouvoir s'insérer à pied par le NORD et pourvoir en cas de rencontre se faire passer pour des promeneurs (en pleine nuit mais bon) . Et ainsi récupérer notre matériel en zone hostile sur le point R3.
    Je les contact par TPH car personne sur ce point, MONTAGNE m'informe donc être dans un restaurant du centre de SOSPEL et me demande de les rejoindre. Une fois dans ce petit restaurant, nous rencontrons DELTA et MONTAGNE à table, et à peine en cours de commande. 
    Ils nous expliquent leur phase de renseignement sur le bunker et leur tentative d'ouverture de la brèche sur B4. Cela revenant à nous dire, que la mission n'est pas réalisable, et qu'ils souhaitent faire autrement, à savoir nous regrouper et faire un assaut sur B1.
    Pas vraiment d'accord avec eux sur ce point, cela voulant dire, l'abandon de la mission de BRAVO pour l'interception du véhicule, l'abandon de coupure de l'antenne relais, ainsi que la non réalisation de la mission de DELTA.


    Nous préférons nous insérer comme prévu sur le lieu prévu, et faire le point une fois sur place, en voyant les effectifs ennemies.


    20.30
    Nous quittons donc le restaurant, sans les cyalumes, sans MONTAGNE et sans DELTA, pour rejoindre notre point d'insertion, avec notre matos.


    21.45
    Nous arrivons sur zone, nous stationnons en bord de route, nous équipons en bord de route tant bien que mal à l'abri derrière le camion, et commençons notre progressions.
    Cette progression aurait du être beaucoup plus rapide pour nous, car sans notre matériels, en cas de contact nous aurions été capable de passer sans accrochages. 
    Bref nous perdons énormément de temps à rejoindre B4, passant de bunker en bunker jusqu'a rejoindre l'antenne.
    Nous apprenons par MONTAGNE que DELTA n'est plus.
    Nous continuons notre chemin et décidons de prendre le relais de DELTA,tant bine que possible avec nos moyens. "On se débrouille avec nos grenades XD" et ont fait exploser le stock!


    22.30
    MONTAGNE nous demande des infos sur notre position. Nous tentons d'organiser une rencontre avec eux sur le point 139 afin de récupérer les cyalumes et l'explosive. Mais ils nous informent ne pas être en mesure de rejoindre ce point, étant en véhicule.
    Ils proposent donc que nous les rejoignons afin de prendre d'assaut les checks points.
    Mais nous restons sur notre mission et nous débrouillerons bien avec notre matos. 


    1.00
    Une fois sur l'antenne ne disposant pas des cyalumes piégé, nous ouvrons le boitier de raccordement de l'antenne afin d'y mettre en place des cyalumes (petits explosif s'activant au moindre contact radio  )


    1.30
    Nous arrivons sur B4, et cherchons l'entrée du bunker.


    2.12
    Nous apprenons la perte de MONTAGNE


    2.32
    Nous apprenons par MONTAGNE que la porte à du être fermer par les RUSSES. Nous ne pourrons donc pas réaliser la mission de DELTA.


    3.00
    Après 30 min de tentative de forçage de la porte (OUI nous avions espoir, et l'espoir fait vivre   )nous décrochons, pour rejoindre B1.
    Nous arrivons à descendre par le SUD jusqu'a 5 m du barrage SUD, et restons en attente et en observation.
    Nous arrivons également à recevoir des COMs de BRAVO en route en véhicule sur le BLOC1.


    Nous décidons donc d'attendre leur arrivée et de frapper une fois BRAVO sur site.


    3.45
    Nous avons déjà remarquer qu'a chaque contrôle de véhicule, 2 PAX se chargeait du contrôle et que cela créait un attroupement de 5 ou 6 sur l'air devant l'entrée du BUNKER.


    4.00
    Un défendeur arrive, nous donnons le TOP action.


    4.20
    2 ALPHA DCD, un véhicule arrivent avec BRAVO, permettant un soutiens à notre attaque.


    4.30
    Attaque fini, ALPHA tous DCD ainsi que BRAVO.


    Fin de partie pour nous, nous rejoignons le bloc 1.


    Comme d'habitude, un grand MERCI à STRIKE et BSO pour l'organisation de cette OP.
    Malgré les couacs avec les autres groupes COMMANDO, et bien ont sait bien amuser. Malheureusement, nous n'avons pas réaliser grand chose en objectifs, mais nous auront au moins essayer.


    Je trouve que c'est un gros plus sur ce genre d'OP de pouvoir, improvisé, et d'être libre de réaliser les missions comme bon vous semble ou du moins comme on le peu  .
     
    Nous aurions certainement eu l’occasion de faire plus de dégât chez les RUSSES lors de notre assaut, mais ce n'est que partie remise 
     


  11. J'aime
    CamS a réagi à -- YO -- dans RPRC #3 - WOLF STONE /// 3-4/12/2016 /// SHELTER   
    Je recopie-colle mon Feedback laissé sur FB : 


    "
    Récit reporter de guerre durant l'op RPRC #3 - WOLF STONE
    Étudiant en photographie à Paris, fasciné par les conflits, j’ai décidé fin Novembre de prendre la direction de la Bulgarie .
    2 décembre, arrivé dans la ville de Dobritch situé près de la Roumanie, je me rends dans les maisons de Presse pour y trouver des infos quelconques, sans succès .
     
    Je contact des reporters mais qui refuse de me donner la moindre info . 
    Avec beaucoup de persévérance, j’ai réussi à avoir un rendez-vous avec l’un d’entre eux au Bar Клуб dans le centre ville de Dobritch . 
    Après une courte discussion, il me répond : «  si tu veux te faire les dents sur un sujet, j’ai peut-être quelques choses pour toi ... Je ne peux pas m’y rendre, je dois partir pour l’Ukraine pour un reportage et c’est apparemment sans danger ce sujet . » 
     
    Enfin, je tiens peut-être quelques choses ! 
    - « Où ça ? » lui répond dis-je d'une voix ferme .
    - «  Calme toi mon grand, il s’agirait d’un complexe abritant des futs de TATP de ce que j’ai compris .
    - « Il se situe où ce complexe ? » 
    - « Au mont Grska, je t’en dirai pas plus, à toi de trouver comme un grand. »
     
    Le rendez-vous se termine, très peu d’infos mais je ne laisse pas tomber .
    Après une nuit complète de recherche et quelques graissage de pâtes auprès de fonctionnaires, j’obtiens une localisation partielle . 
    Situé à plus de 300 kilomètres d’où je me trouve, je décide de louer une voiture pour faire le trajet le matin même .
    On me propose une vieille Mercedes blanche typique de l’ère soviétique .
    Nourriture, eau et vêtement de rechange acheté en vitesse, je prends la route .
     
    13H00 - 8 kilomètres avant d’arriver sur le site, la route bitumée change subitement pour faire place à une route très endommagée .
    Je monte avec peine et lenteur, ma vieille voiture est mise à rude épreuve .
    Je prends ma carte et son tracé, j’essaye de voir où je me situe après plus de 10 minutes de route . Plus j’avance, plus la route monte, plus la température baisse . 
     
    Après 15 minutes de piste, j’aperçois des casernements . Je m’arrête sur le bas côté .
    Des têtes apparaissent à travers les fenêtres d’un bâtiment, je m’engage vers eux, main à l’extérieur . Il semblerait que le complexe soit tenu par des Russes, je me présente comme jeunes reporters de Guerre.
    Sans hostilité aucune, le groupe m’accepte volontiers .
    Une étape en moins, ouf ! 
     
    Je fais connaissance avec certains, je constate que d’autres sont plus sceptiques quant à ma présence . 
     
    15 heures, tout s’active d’un seul coup . 
    On me guide vers le fameux complexe qui n’est autre qu’un bunker. Le pont-levis permettant l’accès au véhicule s’abaisse avec silence, je rentre . 
    J’aperçois une longue table de bois où les hommes doivent s’y réchauffer et manger pendant leurs pauses . Les groupes Russes s’activent de toutes parts, ils explorent le bunker de toutes parts . 
     
    15H30 - arrivé d’un groupe de maintenance du site .
    Vêtu de casque, combinaisons, équipé d’outils, ils doivent apparemment entretenir le site .
     
    Toute toute personne ne faisant pas partie du personnel du bunker ne peut rentrer sans une fouille intégrale . 
    Palpations, détecteur de métaux et fouille des caisses effectuées .
    Certains techniciens du groupe de maintenance émettent des objections qu’en a cette fouille excessive . Le personnel chargé du contrôle remet les points sur les ï . Le groupe de maintenance abdique . 
     
    Entre-temps, le responsable des Russes demande à l’un de ses hommes de récupérer les jerricans d’essence présent près du groupe électrogène dehors qui nous fournis de l’électricité pour éclairer une partie du fort, groupe électrogène bruyant et camouflant du coup tout bruit suspect venant de l’extérieur . 
     
    Pendant que les Russes investissent les lieux, le groupe de maintenance doit faire son travail . Accompagnés de deux gardes, ils s’enfoncent dans l’obscurité du fort pour commencer le travail . 
    Tel un groupe d’enfants, les techniciens courent de partout et mettent à rude épreuve les nerfs des gardiens.
    La suite de la visite des lieux pour le groupe de maintenance doit s’effectuer à l’étage, nous montons . 
    L’étage qui en faite ne fait pas loin de 18 étages à monter me fait déjà regretter mon choix de les suivre mais la passion du reportage me pousse à monter encore et encore .
    Les escaliers sont étroits, les couloirs encore plus . Je dois sans arrêt me battre avec mon télé-objective pour qu’il reste près de mon corps afin d’éviter qu’ils ne tapent dans les murs . 
     
    Mon rôle en tant que reporters de guerre est de montrer aux autres ce qui ce passe mais sans pour autant gêner les personnes que je photographie, je dois donc me faire petit dans ces étroits couloirs .
    30 minutes plus tard .
    Toujours avec le groupe de maintenance accompagné des deux gardes, j’ai l’impression que les techniciens cherchent autres choses, ils s’éparpillent ...
    Je décide de redescendre. 
    Arrivé à un étage intermédiaire, je visite les lieux . En rentrant dans une pièce, j’aperçois une biche décomposée . Ces lieux froid et sombre ne laissent aucune chance sans préparation . 
     
    Je regagne la pièce de vie du bunker . Des futs sont présents à l’entrée, je remarque que certains y amènent ces futs loin dans le site . Je les accompagne pour y voir de plus près .
    À deux minimum, ils transportent fut après fut sur une sorte de civière spécialement conçue pour .
    Plus de 5 minutes de marche à travers ce Bunker plongé dans l’obscurité, nous regagnons une pièce qui sert de stockage. Déchargement, sens inverse, je regagne de nouveau la pièce de vie en leurs compagnies .
     
    20H - Les Russes se posent peu à peu, ils sortent leurs réchauds pour y faire à manger . 
    Le froid s’installe, ce froid qui deviendra mon pire ennemi durant toute la nuit .
    J’évite autant que possible de rester statique, je vois un fût vide posé à l’extérieur, je demande au chef Russe si je peux leur aider à y faire un feu et leur montrer du coup ma bonne volonté..
     
    “Vas-y, je devais le faire mais je n’ai pas le temps” me répond-il .
    Je me rends aux abords du bunker pour y trouver du bois . Je ramasse ce que je peux et le mets dans le fût . Je demande de l’essence à l'un des gardes pour pouvoir allumer le bois . Après deux tentatives, en vain ... 
     
    21h - Je me laisse pas abattre, j’essaye de nouveau, un des gardes hurle que deux véhicules sont en approchent ! Je rentre en vitesse dans le bunker, le convoi arrive . Les Russes s’activent de toutes parts . 
    La nuit s’éclaire peu à peu via les phares du convoi . 
    Un convoi Serbe s’arrête au checkpoint, les Russes contrôlent les papiers et l’intérieur des véhicules . Une fois les plaques et identifications validé, le convoi rentre dans la zone de stationnement .
     
    Les Serbes descendent de leurs véhicules, vêtues de cagoules noires sur la tête ne laissant que leurs yeux apparent, équipés de Kalachnikov et de rangers noir. 
    La tension monte d’un cran dans le bunker . 
    Les Serbes doivent se soumettre aux mêmes contrôle que l’équipe de maintenance qui sont repartis quelques heures plus tôt . De ce que j’ai compris, le groupe Serbe est venu inspecter le lot de fût . Le contrôle à l’entrée est un peu confus . 
    Les Serbes doivent déposer leurs armes à l’entrée . La tension est palpable, j’hésite à prendre des photos, j’essaye quand même . Les réactions ne s’attardent pas et des plaintes de Serbes se font entendre, j’arrête .
     
     Allant en zone contaminée, ils doivent s’équiper de la tête au pied d’une tenue et d’un masque ainsi que d’un compteur Geiger . Un groupe de 5 russes accompagne les Serbes à l’intérieur du Bunker. J’accompagne le groupe, toujours en arrière . L’un des Russes m’aperçoit derrière et me demande de passer devant, entre eux et les Serbes .
    Nous arrivons dans la pièce de stockage, les Russes sécurisent les lieux .
    Les Serbes font leurs inspections, nous repartons vers la pièce de vie . 
     
    L’un des responsables Serbes demande aux responsables logistiques Russes de conclure l’inspection par une signature du contrat . Leurs armes leur sont remises, les Serbes repartent en convoi.. Le calme revient . 
     
    22H- les Russes en profitent pour manger et dormir un peu . Certains groupes effectuent des rondes dans le fort . L’un de ces groupes va passer une grande partie dans le noir pour y clôturer définitivement tous les accès extérieurs possibles . 
    Je profite d’une des rondes pour les accompagner afin de me réchauffer . 
    Je regarde le thermomètre avant de partir avec eux, j’aperçois un 0,5 degré . Un courant d’air constant balaye la zone de vie .
     
    De retour dans la zone vie après la ronde, j’essaye de me trouver un coin tranquille, à l’abri de cette ennemie invisible qu’est ce courant d’air mais l’un des Russes me rappelle à l’ordre et me demande d’être constamment visible de tous .
    Mes doutes se confirment, je reste sur mes gardes dès à présent, je suis désormais tout seul et le moindre faux pas peut m’être fatal .
     
    Je ne regarde plus l’heure pendant un bon moment. Vers les 1H du matin, le convoi Serbes revient pour apparemment prendre un fût . Le convoi est désormais de 4 voitures au lieu de 3 . Toutes bondées, armé, hommes cagoulés . 
    Le stress remonte aussi tôt, tout le monde est sur ses gardes . La plupart des Serbes restent à l’extérieur et rodent en nombre sur le parking . Un certain nombre de Russe est parti effectuer une ronde à l’intérieur du bunker, une autre partie aidée leurs collègues situés à l’antenne au-dessus du bunker . Les Russes ne sont plus que 3-4 à l’entrée dont un qui ronfle depuis près de 30 minutes sur son canapé . La situation est tendue . 
     
    15 minutes se passent, le groupe Serbe redescend avec un fût, les papiers signés, le convoi repart . 
     
    Je sens comme une routine dangereuse qui s’installe chez beaucoup de Russes . 
    J’en profite pour manger un morceau afin de regagner des forces car le plus dur reste à venir .
    Après le repas, j’apprends que le convoi transportant le fût a été attaqué sur le trajet . Seul un véhicule s’en est sorti . Les Serbes demandent hospitalités au sein du Bunker afin de se réchauffer et de remédier à leurs problèmes en sécurité .
    Après beaucoup d’hésitation, les Russes acceptent à contre-coeur . 
     
    10 minutes après, le convoi ayant survécu arrive . Les Serbes rentrent dans le bunker avec leurs armes, pose le peut d’affaires qu’ils ont pu récupérer durant l’attaque et se réchauffent . Les Russes sont aux aguets, la main sur leurs armes prêtes à tirer .
    J’essaye de m’écarter des groupes pour éviter de me retrouver dans un guêpier mais l’un des Russes me rappelle de nouveau à l’ordre . 
    La paranoïa montent encore plus me concernant quand ils s’aperçoivent que je lie d’amitié avec un Serbe . Je n’ai quasiment plus le droit de me déplacer .
    Je suis passionné par les AK et fasciné en voyants les leurs, je voudraient les prendre en main mais je ne le fait pas, la situation est beaucoup trop tendue .
     
    Les heures passent, je me pose sur le canapé et me bats contre le froid . 
    L’un des Russes me voyant au loin me donne une couverture en laine qui réchauffera mes mains et mes jambes durant une grande partie de la nuit .
    L’un des Russes s’installe près de moi, tremblant légèrement aussi me rassurant que je ne suis pas le seul .
     
    3H30 du matin, la lumière s’abaissent par à-coup pendant quelques secondes, le groupe électrogène donne des signes de faiblesse, je conseille à l’un des Russes d’aller faire le plein .
     
    15 secondes plus tard, le groupe s’arrête, l’obscurité s’écroule sur nous, le silence résonne.
    Deux Russes s’activent à faire le plein . 5 longues minutes passent ... le groupe redémarre, la lumière revient.
     
    4H - Beaucoup commencent à piquer du nez . Je me bats contre le froid qui me fait mal aux jambes tellement elles se contractent .
    Mes paupières fermées mais bien éveillées mentalement, le temps devient long . 
    J’apprends que les Serbes qui sont partis quelque temps avant ont réussi à récupérer leurs véhicules et sont en direction du Bunker .
    4H30 - Je demande au seul Serbe présent dans la pièce de vie si je peux les accompagner dans leur convoi et me répond positivement . 
    Ça ne sert plus à rien de rester dans le bunker, je ne peux plus faire de mouvement sans être rappelé à l'ordre, je décide de plier bagage quitte à prendre un gros risque en partant chez les Serbes . 
    Le reste du convoi arrive, le serbe préviens ses hommes que je vais monter dans leur convoi .
    L’un me fait signe de monter dans l’un des véhicules, je prends mes affaires.
     
    Je monte à l’arrière, un homme est présent dans ce véhicule, je ne distingue que l’ombre de son Ak . Un très long moment passe, je parviens enfin à me réchauffer . Je scrute au loin les échangent entre Serbes et Russes . 
    De longues minutes passent ... le temps est long .
    Des Russes effectuent des rondes à l’extérieur, passent tout près du véhicule dans lequel je me trouve et éclairant par moments l’intérieur de celui-ci avec leurs lampes . 
     
    Un homme hurle «  CONTACT ! » La voiture dans lequel me je trouve est criblé de toute part . Le Serbe présent dans le véhicule essaye de sortir comme il peut . Je me retrouve seul dans le véhicule . Tout le monde s’active à l’extérieur, j’essaye de comprendre d’où viennent les tirs, je sors de la voiture en courant vers l’entrée du bunker, 2 impacts en plein casque, je m’écroule au sol .
     
    Fin du match pour moi .
     
    Je fais le mort durant 15 minutes au sol, je profite du spectacle de l’assaut en cours . 
    Les faisceaux des torches sur-puissantes traversent la forêt de part en part ! Les Russes lancent des grenades par-dessus leurs Bunker comme ils peuvent, les gerbes d’étincelles lors des explosions offrent un spectacle magnifique, des silhouettes sombres traversent le parking à toutes vitesses, un Serbe passe devant moi, touché à l’épaule, il s’écroule .
    Je regarde de l’autre côté, vers le convoi, les cadavres au sol, inerte. 
     
    —— 
     
    Ce fut pour ma part l’op de l’année ! 
    Un Roleplay comme j’en ai rarement vu.
    Un grand Bravo et merci à Strike et à tous les Orga qui l’ont aidé dans ses taches . 
    Merci à toi Strike de m’avoir fait confiance pour mon rôle de reporter . 
    Bravo aux Russes pour leurs accents ^^
    De bons moments de rigolade avec le groupe de maintenance  
    Merci à Thibaud de nous avoir fait partager sont fort, un lieu dans son jus et qui lui donne un vrai cachet . 
    J’ai souffert du froid, la parano qui montait et qui m’empêchait de faire mon taff mais pour le coup je dis ... à quand la prochaine ?  
     
    Bravo à tous ! Sincèrement . 
     
    Yoan, photographe durant l’Op Wolf Stone ."


    Vraiment merci encore, une bien belle Op qui restera dans ma mémoire pendant fort longtemps  
    C'est et ce sera toujours un plaisir de venir sur tes Op mon cher Strike  

    A très vite ! 
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    CamS a reçu une réaction de Strike dans SR.OPS #3 - HIGH VOLTAGE /// 16/10/2016 /// HAVOC - Feedback   
    Vivement la prochaine 
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    CamS a reçu une réaction de Strike dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    Il a des envies en ce mois de septembre Ariegeboy 
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    CamS a réagi à Strike dans Photos Plume Blanche 2016   
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    CamS a réagi à Strike dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    @ Lo0pinG et TonTon :
    Salut les gars, j'ai enfin réussi à prendre un peu de temps pour vous répondre, je vais donc essayer de ne rien oublier.
    D'abord je tiens à vous remercier pour vos compliments qui nous touchent beaucoup, et je suis heureux de voir que globalement cet événement vous a apporté beaucoup de plaisir. C'est notre objectif principal, et nous mettons chaque année en oeuvre tout ce qui est possible pour vous faire vivre un week-end mémorable. Tant mieux si, globalement, ça a fonctionné Nous tenons compte aussi des critiques et des suggestions, et je vous remercie pour votre franchise tout au long de cette vidéo.
    Évidement, nous avons aussi commis des erreurs, et parfois les choses ne se sont pas passées comme prévu. Nous avons dû parfois nous adapter, trouver des solutions de dernière minute, et ne rien lâcher... En croisant les doigts pour que tout se passe pour le mieux
    De votre côté, j'entends que vous vous posez beaucoup de questions et je vais donc tenter d'y répondre le plus objectivement possible. Si certaines réponses ne vous conviennent pas, manquent d'infos ou que vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à poster à la suite.

    _____________________________________________
    Je précise que l'ensemble de l'organisation a été contrôlée à chaque étape par un conseiller technique (ancien militaire d'active) afin que tout corresponde le plus possible aux modes opératoires réels (en tenant compte que nous sommes dans une OP airsoft et que certaines procédures ont évidemment été simplifiées/adaptées). Transmission d'informations, prises de contact, modes de transport, objectifs... Donc quoi que vous en pensiez, vous étiez immergés dans un environnement le plus proche possible du réel.
    Je reviens donc sur le points "litigieux" ou "problématiques" que vous évoquez dans votre retex :
    Insertion Vous n'avez pas suivi les instructions qui interdisaient d'entrer en zone hostile ;Vous n'êtes pas arrivés à l'heure prévue sur la zone d'embarquement ;
    Vous n'avez pas réussi à arriver dans les 15 minutes supplémentaires qui vous ont été octroyées.
    Normalement, un seul de ces trois motifs auraient dû nous conduire à vous disqualifier. Dans la réalité, si vous ratez la fenêtre d'embarquement, c'est échec mission. Mais nous avons préféré vous garder en jeu pour que vous puissiez quand même profiter de l'OP.

    Attente sur le parking Vous n'êtes pas restés en stand-by comme il vous l'a été demandé. Vous avez braqué le second binôme lors de son arrivée sur le parking, puis vous nous avez braqué ensuite. Alors que vous n'êtes pas sensés prendre l'initiative du contact. Comme vous l'avez dit, comment être sûr que nous sommes de votre côté ? Du coup, comme vous n'avez pas attendu notre feu vert vous nous avez un peu pris de cours : il fallait qu'on paye la location du camion et qu'on débarrasse les fûts de bière du Defender. Il n'était pas prévu qu'on l'utilise pour l'insertion et nous avons dû improviser.
    Port de lunettes et du gilet fluo Blood et moi ne portons pas de lunettes sur le parking parce que nous sommes dans un village. Selon le règlement, les échange de tir sont interdits aux abords et dans les villages. Donc il n'y avait aucune raison qu'un tir puisse nous atteindre.D'autre part nous n'avons pas mis nos gilets fluo pour ne pas rompre votre immersion. Comme dit plus haut, il n'y avait pas de raison qu'on nous tire dessus, vous étiez les deux seuls binômes sur place à ce moment et vous étiez sensé attendre nos instructions. D'ailleurs si un tir avait été déclenché sur le parking, l'auteur aurait été immédiatement disqualifié. Et puis, des russes qui déplacent des fûts de bière, c'est roleplay

    Signe de reconnaissance Nous ne vous avons pas communiqué de signe de reconnaissance parce que le QG vous donnait les infos "en direct" par SMS. Dans la réalité, dans ces conditions, on utilise pas de signe de reconnaissance. Nous avions prévu de vous donner le feu vert par SMS pour l'embarquement dès que nous serions prêts. De votre côté, vous deviez attendre ce message vous donnant le top pour cette récupération. À partir du moment où vous êtes sur place et que vous observez la zone, quand le QG vous donne le "top action", il n'y a pas de raison de tomber sur un ennemi... Par contre, venir au contact spontanément, sans attendre de message du QG, ce fut une erreur de votre part.
    Communications sécurisées ou pas Vous évoquez l'idée que votre contact a pu être fait prisonnier et que l'ennemi vous transmettre des infos corrompues afin de vous piéger. Dans la réalité, si ce cas de figure se présente, un signe de reconnaissance ne vous évitera pas de tomber dans un piège Si l'ennemi vous envoie dans une embuscade, à moins de l'avoir vu de loin vous serez bien trop proche du dispositif adverse (voire même carrément à l'intérieur de celui-ci) pour vous en défaire. D'ailleurs si ce cas de figure se présente en OP c'est parce que l'orga le prévoit dans son scénario, et qu'il ne sanctionnera pas l'action. Parce que sinon, comment savoir qu'un ordre de mission n'est pas un piège à chaque fois ? Ce serait injouable. Bref, même si beaucoup de choses sont possibles dans une OP, certains "coups de pute" sont, à mon avis, proscrits si ils conduisent l'élimination des joueurs. A l'inverse, si cela ne conduit pas à une fin de jeu prématurée, c'est plus du jeu de rôle et ça peut pimenter le scénario. Donc de la méfiance oui, prendre des précautions oui, mais au-delà ça devient de la paranoïa...
    Position de tir sur l'évêque Il me semble que sur ce point vous confondez deux choses : le règlement et l'ordre de mission. Le règlement encadre le mode de jeu (règles d'engagement, dress-code, zone de jeu...). Il faut évidemment le respecter à la lettre et aucun aménagement n'est possible. L'ordre de mission quant à lui définit l'objectif que vous avez à accomplir et propose un cadre permettant de le faire. Il donne des infos sur le contexte, le type de terrain, le timing... Il réunit les infos dont dispose l'état major au moment où il rédige l'ordre de mission. En conséquence, il ne doit pas être considéré comme absolu, mais doit être confronté au réel. C'est de cette façon que ça fonctionne dans la réalité. Une fois sur place, si la zone prévue pour votre positionnement n'est pas adéquate, à vous d'aménager ou de déplacer votre position, d'optimiser votre camouflage, ou de contacter l'état major pour lui faire remonter les infos de terrain que vous observez. Et si le QG est injoignable, on s'adapte, on improvise et on domine !
    Action des gardes de l'évêque Quand je dis que les gardes ne devaient pas vous tirer dessus, je veux dire qu'ils ne devaient pas le faire "volontairement". Ce n'est pas la même chose... Concrètement : Les gardes sont venus deux fois sur zone. Une première fois pour reconnaître la zone. Une deuxième fois pour la sécuriser.
    - Consigne donnée pour la première reco :
    "Vous allez sur zone pour vérifier que la zone se prête à la rencontre entre l'évêque et le Géorgien. Vous ne cherchez pas les binômes. Si vous les voyez accidentellement, mais qu'ils ont fait l'effort de se camoufler, vous n'intervenez pas. Si un binôme est clairement visible et n'a pas fait d'effort pour se cacher, vous le fumez."
    - Consigne donnée pour le deuxième déplacement :
    "Les binômes sont en place. Vous les ignorerez durant toute la phase du discours. Ensuite, sur mon ordre, les binômes vont tirer sur l'évêque. Lorsqu'il tombera, vous riposterez en tirant au hasard, sans viser les binômes. Le but n'est pas de les éliminer mais de créer une réponse à leur agression, afin qu'ils aient devant eux un comportement cohérent avec la situation."
    Dans la réalité, si vous êtes à 800 ou 900m de la cible tel que Looping l'évoque, si un garde tire une rafale dans votre direction, même sans vous viser, une balle peut vous atteindre (portée max d'une AK47 : 1500m environ).
    Donc si vous vous êtes fait toucher, de mon point de vue c'est parce que vous étiez trop exposés. Vous auriez pu aménager votre position, ériger une protection avec de la terre, du camouflage avec de la végétation... creuser un trou même comme l'a dit TonTon ! Même si je le reconnais cette dernière option devait être un peu complexe à mettre en oeuvre. Quoi qu'il en soit, les gardes m'ont confirmé qu'ils ne vous ont pas visés spécifiquement, mais qu'ils ont tiré au hasard : vous n'étiez pas suffisamment à couvert et vous avez été touchés, dont l'un à la tête de surcroît. C'est ce qui a, logiquement, conduit à votre élimination.

    _______________________
    Finalement, en écoutant votre retex, je me rend compte que le mode de jeu mis en place durant le Challenge vous a pas mal dérouté par rapport aux environnements de jeu que vous avez l'habitude de rencontrer. Cela illustre la différence qui existe entre une OP classique et la Plume Blanche. Vous n'êtes pas les premiers dans ce cas, et à mon avis vous ne serez pas les derniers. Vous dites en fin de vidéo qu'à votre avis il n'y a pas assez d'infos au sujet du "libre arbitre" sur le forum : pourtant, la marque de fabrique de la Plume Blanche est l'immense liberté laissée au joueurs ! En conséquence, pensez "réel" et sortez du carcan "OP" : improvisez, prenez des initiatives, surprenez-nous ! On ne vous sanctionnera jamais tant que vous respectez le règlement et que vous ne trichez pas.
    Vous auriez dû, il me semble, passer plus de temps à éplucher ces infos qui vous auraient été utiles durant le Challenge. Cependant, rien ne vaut l'expérience acquise sur le terrain et vous avez certainement plus appris en un Challenge qu'en 10 heures de lecture
    Pour finir sachez que vous serez évidemment les bienvenus pour la prochaine édition, et que les vétérans et nous mêmes, orgas, sommes à votre disposition pour toute les questions que vous pourrez vous poser pour préparer ce 7e Challenge
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    CamS a reçu une réaction de Strike dans Infos sur la succession et l'importance des missions   
    Clairement, c'est rude quand même ! 
    Ou alors il faut prévenir à l'avance, qu'une mission sans horaires doit être exécuter immédiatement... Et que certaines ne sont pas obligatoire ! 
     
    Mais je trouve que nous perdons le charme du challenge, pour moi la Plume c'est: 
    Insertion raté / ELIMINATION
    BAL raté / ELIMINATION (sauf cas particuliers cette année)
    Mission raté / ELIMINATION
     
    Bref des missions non éliminatoire mais sans que nous le sachions, au final sans récupérer la BAL et sans faire la Mission 1, à 8h du matin samedi nous aurions étés sur la Crète pour le boitier fibre !! et toujours en jeu   nous aurions patienter et fais la sieste jusqu'a 15h, heure de réception des coordonnées du boitier ! 
     
    Je trouve cela, dommage et decevant de se faire sortir la dessus   ! 
     
    Mais nous nous sommes fais plaisir quand même, et on à retrouver les copains le samedi soir !! 
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    CamS a reçu une réaction de Strike dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    FeedBack 2015 : Lien débriefing 2015

     
    FeedBack 2016 :
    Nous arrivons sur le premier point de RDV avec plus d’une heure d’avance,et sur place plusieurs binômes sont déjà là. Notre avance, nous permet de finaliser notre matériels, vérifier nos sacs, et évidemment de discuter avec les autres binômes, que nous connaissions déjà pour certains.


    21.45, j’ai la pression notre premier SMS dois arriver pour 22.00, étant le groupe ALPHA, nous sommes les premiers à partir. Je me met donc derrière le volant en attendant le SMS, carte sur les jambes et fumant clope sur clope.


    22.00, réception du SMS

    C’est le même point que l’année dernière, nous partons illico, sur zone un véhicule de transport de troupe semble nous attendre ainsi que trois personnes au visage cagoulé, nous nous garons prenons répliques et sacs et suivons les consignes. « Bonsoir Alpha, c’est une zone SAFE, attendez prêt du camion, les autres binômes arrivent »

    Et en effet, à la chaîne binôme par binôme tous le monde arrive, sauf 2 binômes.
    Nos contacts, nous fournisse 3 autocollant chacun comportant nos noms de baptême (ALPHA), un pour notre sac, le second pour notre réplique et le dernier à mettre sur nous. Chose faite, nous nous entassons dans le camions, mais vraiment entassez, debout, assis, les sacs par terre, et les répliques la ou nous le pouvons. On nous informe que les routes sont clear, mais qu’un petit kilomètre avant la frontière le véhicule s’arrêtera afin d’être bâcher pour pouvoir passer la frontière. Le camion démarre et nous voila en route.


    Le camion roule doucement, mais le peux de prise que nous avons et nos positions dans le véhicule, à chaque changement de vitesse et chaque dos d’âne nous sommes remuer dans tous les sens, cela aidant ou nous tasser dans le camion. En chemin nous entendons quelques choses tomber du camion, quelques temps plus tard le camion s’arrête pour être bâcher, à partir de ce moment plus un bruit dans la benne et tous le monde attend le passage de la frontière.
    Nouvelle halte, nous entendons un homme avec un fort accent, réclamer des papiers, autorisation à notre passeur. Le ton monte, et à l’aveugle sans bruits, nous suivons la discussion et les négociations pour laisser notre véhicule passer cette frontière. A priori, les douaniers souhaites un bakchich pour nous laisser passer, chose que notre passeur avait prévu, mais malheureusement les jerricanes d’essence prévus, sont en réalité tomber sur la route, et notre passeur n’a donc plus de monnaie d’échange. A force de persuasion le douanier autorise finalement le véhicule à passer et surtout sans fouiller la benne.

    Quelques kilomètres plus tard, le véhicule s’arrête de nouveau et celui-ci est débâcher. Nous en descendons mais sans nos répliques et sacs. Mis en ligne devant l’entrée d’un bunker nous attendons que tous les binômes se rassembles et nous rentrons dans l’antre du bâtiment. Dans les couloirs sans bruits nous avançons, jusqu'à rejoindre une pièce tout en longueur dans laquelle se trouve un tableau avec la carte de la zone et l’ensemble de nos cibles. 
    Le briefing commun commence, quand dans les couloirs nous entendons des détonations, nos contacts se mettent en place et nous extrait du bunker par une seconde issue, nous sautons tous dans le camion comme nous le pouvons, pour moi suspendu au treuille a l’arrière de la benne. 

    Quelques kilomètres plus loin le camion tombe en panne et notre contact nous demande de descendre. Le briefing n’ayant pu avoir lieu, nous recevrons les informations plus tard par SMS. En attendant, ils nous laissent la, sur une route, les 9 binômes sans ordres ou destination. Très vite tous les binômes se mettent en marche et dans la même direction, nous nous rassemblons rapidement pour voir qui fait quoi et comment, certains décident de rester ici en groupe dans l’attente des ordres, et d’autres de filer. Un véhicule arrive, nous nous jetons dans le devers à droite et arrêtons notre chute tant bien que mal en attrapant ce que nous pouvons. Une fois le véhicule passer, MESSER et moi sortons et décidons de nous diriger vers l’EST en attendant les ordres. Je ne souhaitais pas attendre en groupe des ordres inconnus et a l’extrême OUEST de la zone de conflit. Prendre doucement la direction de l’EST pour rejoindre la zone centrale, en attendant les ordres me paraissaient raisonnable.

    Vers 1.00 nous nous arrêtons dans les bois pour une petite pause. Et à 1.30 nous recevons nos ordres par SMS, 

    Nous devons donc rejoindre notre BAL a l’EST de notre position dans laquelle se trouve nos OM.

    Avant de nous mettre en route, nous profitons de notre abris pour choisir notre itinéraire en prenant garde de ne pas franchir la frontière russe, cela nous obligeant des détours et des prises d’altitudes plutôt brutal en pleine nuit. Bref, en route sans encombres, nous arrivons sur la zone de la BAL vers 5h du matin.


    Nous déposons les sacs à dos bien à l’abri et décidons de faire les quelques mètres restant le plus furtivement possible jusqu'à sécuriser la zone. Après 5 min de recherche de nuit et sans lampe, nous la trouvons. Ouvre prend et casse toi, direction les sacs. Rapidement sur nos sacs à dos, nous prenons connaissances des documents :

    Nous apprenons que pour la mission 1, nous devons être sur une zone à 8.00 avec l’ensemble des binômes pour une observation et un shoot coordonnées en fonction des ordres, nous demandons confirmation au HQ du jour de RDV à 5.18, samedi ou dimanche.

    En attendant la réponse, nous reprenons la route direction la mission 2, nous disant que sans horaire pour cette mission nous pouvons la réaliser dans la matinée dans le cas ou la Mission 1 est bien programmer pour le dimanche. GROS CACA.
     
    6.13 SMS du HQ Mission 1 pour 8.00 aujourd’hui, alors la c’est la merde du coup, nous sommes montez et il faut redescendre sur 500m et faire environ 5kms en moins d’1.30 sans se faire voir.
    Du coup réouverture de la carte, calcul de l’itinéraire nom de code « Chuck-Norris » Ok on fait simple ont tape droit dans le vallon et dans les champs jusqu’au GR 54.

    Et nous voila comme des balles dans des putains de sentiers de VTT a descendre le plus vite possible, traversé le champ des Anes en dessous de Saint Dalmas et rejoindre le GR que nous empruntons avec la discrétion d’un troupeau de vache. Sur le GR nous croisons les Belges, plutôt remonter qui semble êtres à la recherche de leur BAL. Sur le coup, je me dis et merde quoi, nous sommes tous larguer au même endroit et eux ont 4kms de moins que nous et 0 dénivelé pour leur BAL. Ça casse un peu les pattes quand même. Bon, je reprends Messer qui commence à faire blabla avec le binôme et celui planquer dans les buissons MDR.

    Et HOP nous reprenons la route et arrivons sur zone à 7.57, immédiatement SMS au HQ, « ALPHA sur ZONE ».

    OUF, nous y sommes nous prenons notre position, en parlant de position, elle était bien nul celle-ci MDR. Pile entre la piste et le chemin d’accès au temple vraiment parfait, et à trop grande distance pour un tir !!!!
    Nous suivons les ordres et attendons l’arrivée du VIP et en prenant note des aller et venu des gardes, en rendant compte au HQ régulièrement. 
     
    En attendant nous voyons plusieurs binômes rejoindre la zone, et en les comptants nous constatons que tous ne sont pas la, espérant ainsi que cette première mission ait fait du trie dans les binômes.

    4h plus tard le VIP arrive, j’avertis le HQ immédiatement, qui nous demande de nous tenir prêt à faire feu. Heu, non ça va pas être possible.

    Je préviens le HQ que pour ALPHA le tir n’est pas réalisable, notre position étant impossible à évacuer rapidement et le VIP hors de portée. D’un coup, un tir, probablement l’un des autres binômes qui en as reçu l’ordre. MESSER et moi restons planquer profil bas, mais des tirs viennent dans notre direction, et Messer se fait toucher à la jambe droite. Plus le choix, je me lève et allume les gardes et les prêtres en contre bas, en me levant je constate déjà que les autres binômes ont du faire la même chose MDR, il ne restait pas grand monde debout.

    Nous nous remettons à couvert, et je soigne comme je peux la jambe de MESSER pendant qu’un homme surpris par la sommes de mort, viens récupérer le corps sans vie du M. CHAUVE qui parlait avec l’évêque.

    La zone SAFE, nous dégageons rapidement du secteur direction les bois et les hauteurs.
    Nous décidons de rester dans les environs pour une petite sieste et un gouter en attendant les coordonnées de notre boitier.

    15.12, nous recevons le SMS avec les coordonnées et nous mettons tranquillement en route, en gardant en tête que nous voulons réaliser la Mission 2 en début de soirée, pensant que les patrouilles seront moins nombreuses. 

    19.20 alors que nous cherchons un endroit pour diner, nous recevons un nouveau SMS du HQ, me mettant la puce à l’oreille. 

    Et la nous apprenons que nous avions jusqu'à 20.00 pour réaliser cette mission et que nous sommes donc éliminer.




    Déçu, et plutôt énervé nous attendons l’extraction et envoyons nos coordonnées avec une boulette de 300m dedans vite corriger, en même temps le HQ avait compris !!


    Pour finir, je ne suis pas déçu de cette OPUS 2016, mais se faire éliminer sur une MISSION 2 pour laquelle nous n’avions pas d’horaire c’est dur pour le moral. Je comprends le choix de Strike sur le déroulement des missions mais grâce à son post, mais une mission 1, non obligatoire et non éliminatoire, et une mission 2 éliminatoire ainsi que des insertions en retard non éliminatoire également.


    Le challenge perd de sa valeur avec cela, et nous fournir des missions sans horaires mais avec un horaire d’élimination que seul les orgas connaissent franchement c’est dur pour le moral.


    Nous étions bien, moralement et physiquement et le choix de trainer pour rejoindre la crête et la Mission 2 était purement réfléchit en fonction des éléments que nous avions. Rejoindre et faire la Mission 2 avant 20h était largement réalisable si nous en avions eu connaissance.


    Enfin, cela fait partie du challenge et putain de Merde vivement 2017.
    Pour finir sur cette élimination que j’ai encore dans a gorge, pour le reste BSOGAMES, rien à dire, une insertion énorme, des accessoires BAL, dossiers… super, des plastrons magnifique dans leurs déguisements. Et une organisation au TOP, sauf pour cette salope de Mission 2 !

    Un grand merci à BSOGAMES, je signe sans aucun problème et aucune rancune pour 2017.

    PS: Sous peu j'édit avec quelques photos   


  18. J'aime
    CamS a réagi à Renan dans Infos sur la succession et l'importance des missions   
    Moi je ne suis pas choqué par le principe!
    C'est vrais que d'avoir des occasions de se rattraper, c'est pas forcément ce a quoi on s'attend, mais, perso, je crache pas dessus!
     
    Pour ce qui est des horaires : on ne m'y rependra plus! S'il sont pas indiqué, je demanderais au QG et si le QG ne répond pas, j'irais au plus court!
  19. J'aime
    CamS a réagi à Swan dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    Allez je me lance !
     
    Déjà un grand grand merci aux orgas, aux teams qui ont fait le déplacements pour jouer les patrouilleurs, merci d'avoir consacré votre week-end pour nous faire jouer.
    Merci d'avoir choisi notre binôme pour faire cette magnifique OP, de nous avoir permis de montrer qu'en étant malade pour l'un et qu'en étant une fille pour l'autre, on pouvait faire ce challenge, tout est une question de mental !
    Merci de m'avoir permis d'être la 1ère femme dans cette galère , j'espère que je vais donner l'envie à d'autres nanas de venir se conforter au bois noir ! Je suis très très fière d'avoir eu cet honneur et votre confiance !
     
    Alors déjà pour moi la plume à commencer dans ma tête du moment ou j'ai su qu'on était validé.
    3 mois de prépa, comment je vais préparer mon sac, je prends quoi, révise la façon de lire une coordonnées UTM sur la carte (bien que je le sache déjà lol), apprend la carte de Valdeblore tous les petits chemins ... prépare la gilie maison (détresse les sacs de jutes, teintures .....)
    Et voila on y est !
    Vendredi 23 juin 2016. 6h du mat le réveil sonne, il faut se préparer pour aller bosser mais j'ai le ventre en vrac, je suis en stress total !
    Je pars au boulo, mais j'ai la tête complétement ailleurs. 13h vite je me casse, fini les 2/3 conneries avant le départ, file chercher la miss à l'école, donne à manger à tous les animaux, fait le briefing à la voisine pour la torture, met tout dans le coffre de la voiture.
    On dépose la miss chez papi, mamie et direction le mac do pour manger un truc avant l'op. On va dire plutôt grignoter un truc car j'ai toujours le ventre en vrac, rien ne passe, j'ai jamais autant été stressée pour une OP d'airsoft !
    Allez hop 19h45, c'est partit direction le parking dont on a reçu les coordonnées UTM par SMS quelques jours au paravent.
     
    On arrive sur place vers 20h40, il y a déjà des joueurs en train de se préparer, on descend de la voiture dit bonjour à tout le monde (et oui il y a une fille cette année) et discute un peu histoire de descendre en pression.
    21h30 on retourne à la voiture, je mets la M4 entre mes jambes au moins je suis prête à toute éventualité et on attend l'heure du lancement.
    Je suis à fond, j'ai l'adrénaline à bloc, j'ai qu'une hâte de recevoir ce SMS qui fera que ça y est c'est le grand saut !
    22h Cam's et Messer partent, ça y est ça commence ! On voit tour à tour les binômes partir. Nous sommes le binôme INDIA, on attends donc notre tour.
    22h09 Le tel vibre, on fait vite la topo et direction le parking en bas de la Bolline
    Arrive au point de rendez-vous mais je trouve ça louche, il y a du monde, un camion de transport, je préféré qu'on aille un poil plus loin pour être sur que c'est bien là, pas envie à peine la partie commencée de finir dans les mains des Russes. Revérifie la topo mais non non c'est bien là.
    Allez let go, on se gare et on descend de la voiture en mode prêt à tout qu'en même, on ne sait jamais.
    On nous accueille, nous donne des autocollants à notre nom, à mettre sur le bras gauche, la réplique et nos sacs (euh désolé mais même pas 5 mins après j'en avais déjà perdu 1 lol)
    Tout le monde est arrivé sauf deux binômes, pas le temps de les attendre, on embarque dans le camion et c'est partit pour une longue route (euh en fait non, c'est juste le camion qui va doucement mais dans la nuit ça le fait bien lol)
    J'observe tout, les panneaux, les maisons, tout ce qui peut me donner un indice sur l'endroit où l'on va. Encore merci à la recrue qui m'aura offert de temps en temps son genou pour pouvoir me reposer les jambes, mime de rien tout debout ça fait vite mal aux genoux.
    On s'arrête, il est temps de bâcher l'arrière du camion pour passer le poste frontière.
    Et on repart sur un chemin, le camion s'arrête à nouveau, ça y est on est au poste frontière.
    Et là, je dis un gros bravo aux orgas, un rôle play de folie, j'étais à fond dedans, l'essence n'est pas là (ben oui comment dire ça à fait bling badaboum pendant qu'on roulait mdr) on entend des coups de feu. J'ai la tête en ébullition, et si on commence ici direct avec les russes, je réfléchis à tout et n'importe quoi.....
    Mais non c'est bon, on passe la frontière le camion repart suite à de la négociation pour des pommes de terres.
    On arrive au bomker, on nous demande de descendre du camion, de se mettre en rang par binôme et on rentre dans le bomker pour avoir nos ordres de mission, un agent nous attend dedans. Je suis trop contente on peut enfin rentrer dans le bomker, j'en ai tellement entendu parler je suis toute YOUPI mdr
    Mais ça sera de courte durée !
    On commence à faire le briefing, déjà ça commence mal, du fait qu'il manque les deux binômes, on se fait engueler par le chef ! Si on connaît notre alphabet mais bon quand il manque Golf ben automatiquement il manque le G 
    Je regarde et j'essaie de mémoriser le tableau dans le fond de la salle. Pleins de visage, une carte de la zone, un homme d'église ....
    Et là paf ça pète de partout (j'ai fait un bon) et on nous fait sortir vite vite par une autre sortie.
    Je me dis : "putain les cons, sur ils sont partis avec nos sacs et répliques, c'était pour ça les autocollants, on est comme des cons sans rien ici ! Mission 1 retrouver nos affaires"
    Mais non c'est bon, ouf le camion est bien là qui nous attend, vite on grimpe dedans, tout le monde est bien là, on décolle !
    Ca pète de partout, grenade, pétard ... merde le camion est touché, il faut vite descendre, retrouver nos affaires et on part dans toutes les directions.
    Nous on part sur la gauche avec d'autres binômes, on commence à marcher tranquille pour trouver un début de sentier où un endroit pour grimper car à droite c'est le ravin à gauche, un mur de terre avant d'arriver aux 1er arbres.
    Mais pas le temps de réfléchir, un véhicule est en apporte, on se jete dans le ravin, le véhicule part, on trouve vite un endroit pour grimper et on monte pour se caller derrière les arbres, on fait trop de bruit, on est trop de prêt de la route. On décide donc de se poser le temps que tout devient plus calme.
    On entend le véhicule passer 2/3 fois, une patrouille surement à pied ou un autre binôme.
    Puis plus rien le calme plat.
    Allez on se met en marche direction le sommet pour être sur de l'endroit où l'on se trouve, faire une meilleure topo. On pense être sur le versan ouest, Rimplas tout illuminé sur notre gauche.
    Et c'est partit pour une bonne heure de marche, on croise un autre binôme qui se repose, on grimpe, on grimpe, mes jambes n'y arrivent plus, je suis totalement ko entre le fatigue de la journée, le stress qui est retombé, j'y arrive plus, je tombe plusieurs fois en marchant, on n'y voit vraiment rien, ça devient dangereux, du coup on stop. On trouve un endroit bien caché et on se calle une petite heure.
    Je dors tranquille quand je sens Six qui me secoue, une biche mange à coté de nous. Du coup je regarde l'heure, 5h du matin, le soleil commence à se lever. On va déjeuner et on reprend la marche vers le point qu'on a reçu par SMS pour récupérer notre ordre de mission.
     
    Samedi 24 juin
    On prend un chocolat chaud et 5h30 c'est partit, on se remet en marche.
    Arrive au sommet, on traverse vite un sentier, on ne sait jamais, c'est bien ça on est sur le versan ouest.
    On a le choix, soit on passe par le sommet donc grimpette puis on coupe après pour récupérer le GR 52 (ben oui on apprendra plus tard qu'on a pas eu les bonnes coordonnées de départ, on a eu le point d'extraction au lieu de la boite aux lettres, erreur de l'orga (va avoir la fessée lol)) ou on descend et on récupère le GR qui est juste en bas de la montagne et on le suis jusqu'à notre coordonnées.
    Le choix est fait (oui on est des fainéants lol) on choisi de descendre tout en marchant en diagonales du GR pour le récupérer en bas. Direction Nord Est et c'est partit.
    On marche, marche, marche, remarche, ratamarche, bref on se fait les jambes tout ça en hors sentier. On croise un autre binôme mais on préfère rester planqué, moins on est, mieux on est caché !
    On se fait des petites poses toutes les heures de 10 mins histoire de boire, manger un truc sucré, reposer nos chevilles qui mine de rien commencent à nous faire souffrir et arrive enfin à l'embranchement de la route avec le GR 52. On traverse et commence à longer la route par le dessous.
    Mais ça devient vite pourri, le terrain est trop en pente, on se ruine les pieds, du coup on décide de remonter sur la route, en longeant bien le bord au cas où le temps de trouver un endroit où monter de l'autre coté.
    Commence à marcher 10/20/30 mins, il n'y a pas de passage, du coup on en profite on avance plus rapidement mais là j'attends Six qui me crie : "Contact camion" putain il est en roues libres, je l'ai entendu qu'au dernier moment.
    Je me jette sans chercher à comprendre dans le bas coté qui est très très penché et je glisse et fini ma descente dans une putain de salope (désolé du terme) de saleté de souche d'arbre. Mon bras droit la tape violement. J'ai une envie folle d'hurler de douleurs mais je me mort les lèvres, le camion est juste au dessus qui cherche notre présence. Six me regarde, me fait signe de ne pas bouger, je vois dans ses yeux qu'il me supplie de ne pas hurler.
    Le camion part, pas le temps de regarder les dégâts, j'ai l'impression de saigner mais on s'en fou, c'est trop dangereux de rester là, le camion peut revenir avec une patrouille, on remonte sur la route (du moins j'essaie de remonter comme je peux à 4 pates)
    J'arrive à coincé la M4 dans ma ceinture, pour soulager mon bras et on repart en courant.
    Merde, il y a une clio sur la bas coté, on cherche pas à comprendre si il y a quelqu'un ou pas, si elle est en jeu ou pas, on remonte un peu sur nos pas, il y a un bas coté et on peut remonter dans la forêt.
    Mais qu'est ce qu'on a eu une bonne idée, à peine on arrive au 1er buisson qu'un autre camion arrive, freine comme un fou et fait une marche arrière.
    Je me dis c'est bon il nous a vu on est foutu, on est caché comme des merdes derrière un buisson pourri qui cache même pas un lapin, c'est bon la plume c'est fini.
    Le chauffeur arrête le moteur et là, personne ne bouge dedans, le passager remet son rétro, ça discute, avec Six on prie pourvu qu'il ne tourne pas la tête. 15 mins se passe et là, le chauffeur remet le contact, le camion repart.
    C'est deux coups de grand stress l'un sur l'autre m'ont tué !
    J'ai super mal au bras, je ne sais toujours pas ce que j'ai.
    On grimpe, vite, trop vite pour mon pauvre Six, je décide de faire une pause, il est presque midi, on va en profiter pour manger.
    J'enlève enfin mon combat shirt et là, ah oui effectivement, j'ai un méga hématome dans le creux du coude et j'ai une petite coupure qui saigne.
    Je me soigne, prend de l'arnica en homéopathie. On mange et on repart. On a perdu trop de temps avec ses histoires, on a toujours pas notre ordre de mission, c'est pas possible, on doit se bouger. On sait par Messer (pas bien on s'est envoyé dans SMS oouuuuuu) qu'ils ont déjà fait une mission le matin qu'on a raté.
    On est plus très loin de l'entrée du GR, pile dans le virage où la route part, on fini vite la partie de hors sentier, puis on redescend sur la route en courant et on se jéte dans le lit d'une rivière asséchée.
    Commence à monter, on est prêt de notre objectif, on se remotive et la bzz, SMS, le jeu est en arrêt pour le moment, il y a eu un couac sur la mission 1, la cible du dimanche matin est morte.
    On en profite pas d'arrêt pour nous, qui dit arrêt du jeu, dit pas de patrouilles, du coup on fouille, fouille, fouille mais merde elle est où cette putain de boite aux lettres.
    Rien, on commence à ratiboiser, on part en couille total sur koh lanta. On veut notre poignard pour les potos ! Mais rien à faire, il n' y a rien ! 3h à chercher rien !
    J'ai le moral à zéro, mon bras me fait vraiment souffrir, je n'arrive plus à porter la M4, c'est Six qui la porte depuis le passage du 2éme camion.
    Bzz SMS, on reçoit le point de coordonnées de la fibre optique.
    On fait quoi, on y va tant pis pour l'ordre, on reviendra ici plus tard .....
    Allez on va tenter notre chance, je prend encore sur moi.
    Mais en peine on commence à franchir un obstacle, que je peux pas, je ne peux vraiment pas, j'ai trop trop mal au bras. Je suis dégoutée limite en pleurs.
    J'ai attendu ce moment depuis tellement longtemps, ça fait des années que Six me parle de refaire ce challenge, j'ai tellement voulu l'amener au pas de tir, je m'en veut de mettre fait mal mais c'est un fait, je ne peux plus continuer, il faut se rendre à l'évidence, il faut arrêter pour blessure .
    J'appelle Strike, lui explique notre mésaventure et lui demande de venir nous récupérer.
    En chemin vers le point de rencontre, on croise les delta corse, vraiment un grand grand merci pour le dafalgan, c'est pas grand chose mais ça ma super soulagée.
    17h la plume blanche est finie pour nous. Strike nous récupéré et nous amène à notre voiture pour que l'on puisse trouver une pharmacie (qu'on ne trouvera jamais lol)
    On décide de rester sur place, j'ai un autre cachet au cas où, de l'arnica. Je prends sur moi.
    On apprendra en arrivant au camp des orgas, que nous sommes le 4éme binômes à avoir arrêté le jeu.
    Je suis fière malgré tout car on ne s'est jamais fait prendre et pourtant on aurait pu à 2 reprises.
    On n'est pas les 1er comme je le pensais.
    1ére fille à faire ce chalenge et j'aurais pu aller plus loin si je n'avais pas eu ce soucis.
    Je suis fière de moi, bois noir est vraiment un casse pattes. Je ne pensais pas passé par autant d'état d'âme, d'émotions sur une simple partie d'airsoft !
    Je me suis régalée !
    Au camp des orgas, j'ai fait la connaissances des teams patrouilleurs, des autres binômes, des gens vraiment sympa avec qui on a super bien rigolé.
    J'ai prit souvent sur moi pour ne pas montrer à Six que j'avais mal malgré tout car je voulais qu'il profite à fond, j'ai malgré tout foutu sa plume en l'air et je n'ai pas pu tenir ma promesse.
    Contente de retrouver notre petit wasabi que j'apprécie énormément, j'espère ne pas t'avoir déçu non plus, je sais que tu misais beaucoup sur nous, tu auras essayer de ton mieux de nous préparer avec tes conseils! Encore merci !
    Contente de revoir des anciens Awacs, depuis le temps, 6 ans qu'on ne vous avez pas vu, entre mon arrêt pour grossesse et autre, vraiment trop trop contente d'avoir revu Stéphane ! J'espère qu'on ne se reverra pas dans 6 longues autres années lol
    Comme d'hab, on aura bien rigolé avec nos chers DV, déçu aussi pour vous que vous n'ayez pas gagné !
    Strike aussi, je ne t'oublie pas mais tu étais toujours en pleines actions d'orga !
    Vraiment contente d'avoir rencontrés pleins de nouvelles teams, des gens vraiment sympa de toutes la France et même de Belgique !
    J'espère qu'on pourra vous revoir sur d'autres OP.
    Je repart de cette OP vraiment heureuse malgré tout, fière de moi, super triste d'avoir arrêté comme ça mais c'est le jeu ma pauvre Lucette !
    J'espère que les A-TACS ne m'en veulent pas ! Je me suis vraiment donnée à 200%
     
    Pour ceux qui veulent savoir, après avoir vu le doc, j'ai une contracture musculaire suite au coup et le tendon bien enflé.
    Heureusement, ce n'est que musculaire, j'ai des anti-inflammatoire et de la créme.
    D'ici encore 3/4 jours tout devrait se remettre dans l'ordre mais le bleu lui, il va rester un bon moment !
     
    Encore un grand grand merci à tous et j'espère revenir l'année prochaine pour finir mon boulo et tenir ma promesse !
  20. J'aime
    CamS a réagi à Renan dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    Vendredi, début d'après-midi...
    Moins de 5 heures plus tôt, je courrais partout dans la maison a chercher mes chaussettes. Ça avait été une putain de journée chargée... de SEMAINE chargée devrais-je dire! Alors que le crissement des graviers m'indique que mon binôme, Blackout, vient d'arriver, je suis encore en train de préparer mes rations!
     
    C'est avec presque 30 minutes de retard sur l’horaire prévu que nous partons vers le Valdeblore! Embouteillage, péage, et accident plus tard, nous arrivons en catastrophe à 21 heures et quelques minutes : pas le temps de dire bonjour, on saute littéralement dans nos treillis et nous nous équipons, frustrés de croire qu'on ne pourra pas prendre le temps de se restaurer. Bon, j'avais oublié que la mission commencerait à 22h...
     
    22 heures et des queues de vache : le portable vibre! Woh putain c'est parti! On avise les coordonnées sur la carte, on grimpe dans le véhicule et on fonce! M!no nous a dit "prenez pas la première a droite! Sinon vous allez vous perdre!" Pour plus de zèle, on ne prend pas non-plus la seconde a droite... On s'est perdu! Bon, une courte recherche plus tard, on déboule sur un parcking avec un gros camion et des gens habillé bizarrement dessus. Le partisan nous indique une place ou garer notre véhicule et en moins de 20 secondes, nous voilà debout devant le camion a écouter le briefing tout en se demandant si on va avoir droit a une dernière cigarette... Après une courte explication :
     
    "Bon, on va vous charger dans le camion! A un moment, je vais bâcher, faudra pas prononcer un mot! Faudra me faire confiance!"
     
    Merde... Ça sens vaguement mauvais quand-même... Nous nous entassons dans le véhicule pèle mèle... Je suis compacté contre Mino, heureusement que je n'ai pas de sac cette année, je n'ai que mon bolt pour me tenir compagnie! Le cortège s'ébranle et le tas (pas d'autre mots vu la config) de sniper avec lui! Ça discute, ça rigole nerveusement... Pour ma part, mon champs de visions se résume a une paire de fesse dans un treillis... Entassés j'vous ai dit! Bon, ça va être assez long, alors j'en profite : je dors! Si si! C'est possible! Des années de pratique!
     
    C'est un sonore : "Oh non! Pas luiii!!!" qui me crispe et me tire de ma somnolence. J'entends la discussion qui se déroule âprement, je sens des mains qui tâtent mon brelage par derrière et je tente désespérément de me rappeler le cri de la patate... Après ce qui semble une éternité, nous reprenons la route pour parvenir à un trou paumé en rase campagne... Les gens sont cagoulés, ils se tiennent dos à la lumière en contre jour et en plus, on me demande de laisser ma réplique dans le camion... Je vous ai déjà dis que je trouvais que ça puait, non? Ben ça n'allait pas s'arranger!
     
    Quand je parlais de "trou", je ne croyais pas si bien dire puisqu'on se retrouve conduit dans les entrailles d'un bunker. Côte à côte avec Black, on suit le guide d'un bon pas, la main sur le pétard. Pas complètement fou quand-même... A chaque intersection, je fouille des yeux l'obscurité mais le jeux de lumière m’empêche de deviner ce qui s'y cache... Enfin, nous arrivons dans un cul-de-sac, face à un homme cagoulé en treillis russe digital. A ses cotés, une carte et des photos que je tente immédiatement de mémoriser. Le briefing commence, dans le plus pur style "sergent instructeur" quand soudain, alors que le gradé nous balance "Vous savez que les choses se passent rarement comme prévu..." une violente explosion résonne. Soit quelqu'un a perdu une goupille en allant pisser, soit on est attaqué! je vous laisse sauter aux conclusions!
     
    Black me plaque presque au sol et dégaine son Glock, j'ai déjà mon P226 en main. L'homme du briefing nous hurle de ranger nos flingues et nous fait courir vers la sortie, le chemin est parcouru d’embûche et la colonne de Sniper se passe les infos de proches en proches pour éviter les trous. Arrivé à l'air libre, nous plongeons dans le camion qui démarre "presque" en trombe (poussif le bidule). On a pas fait 500m que le bouzin décide de tomber en panne, ni une ni deux, tout le monde débarque. Pour ma part je reste dans la benne et je passe aux uns et aux autres leurs sacs et leurs répliques. Une fois équipé, l'expérience nous intime de ne pas rester là a planter des patates! Nous nous mettons en route dans le silence presque complet et dans l'obscurité la plus totale.
     
    Au bout d'un moment assez court, le binôme devant nous se fige, ils ont entendu quelque chose... Après une courte explication sur la faune et la flore, nous reprenons la route pour entendre le vrombissement d'un moteur et des hurlement en russe sur nos 6h! Sans trop réfléchir, on se jette dans le bas coté, a plat ventre. La pente est très raide et le moindre faux mouvement peut nous envoyer au fond de la gorge. Pas l'endroit le plus agréable pour faire la sieste. la voiture passe en trombe, plein phare, alarme hurlante. je souffle à black qu'il faut attendre, qu'ils vont sans doute repasser... Et comme de juste...
     
    Nous reprenons pied sur le chemin, j'attire Black à moi et lui indique qu'il FAUT sortir de la route et s'enterrer le temps que les choses se calment! Au bout d'un moment, avisant une pente qui m'a l'air praticable dans les fourrées, je quitte la route et escalade le talus pour m'enfouir sous un buis. Black m'y rejoint et nous restons là à attendre... Je décroche mon bolt et me cale sur mon buis, quelque chose me dit que l'attente va être un peu longue...
     
    Je suis réveillé par un vibration dans ma poche de poitrine : enfin, le QG se manifeste. Nous consultons l'ordre de missions sous bâche, carte déployée sur les genoux. Nous devons rejoindre une boite au lettre morte pour récupérer nos infos en vue d'une mission dimanche matin... pas d’horaire d'indiqué.
     
    Il est important, à ce stade du récit, de faire une petite aparté pour bien comprendre ce qui va suivre... De toutes les OPs sniper auxquelles j'ai participé, je ne me suis fais accroché qu'une seule fois! C'est dire si je suis d'un naturel prudent... A la réflexion, le fait d'avoir toujours été éliminé sur des blaire topo ou sur des retard aurait du me mettre la puce à l'oreille...
     
    Devant les circonstances, je saute aux conclusions (et je peux atteindre une conclusion, même très éloignée, à pieds joint!) : si on a pas d'heure limite, c'est que le dispositif de sécurité va être affreux! Nous prenons donc la seule décision valide a nos yeux : Azimut brutal, pas un pied sur la route... Nous choisissons donc de rejoindre notre BLM en passant par la crête que nous longerons en lisière militaire, hors des sentiers!
     
    A ce stade du récit, ça va devenir monotone... Donc, je vais accélérer un peu la cadence! De notre première position a l'ouest du Bunker, nous prenons un azimut brutal sud est. Ne rejoignons le sentiers de la crête presque 1km au dessus du col de la Serena. De là, nous grimpons jusqu'à la crête. Il est 5h30 quand nous nous accordons une courte sieste d'une heure sous un pin abattu.
    A 7h, nous reprenons la route et nous nous enfonçons dans le bois noir que nous traverserons plein Est pendant des heures! Vers 13h30, nous recevons un sms nous annonçant que "la cible à été abattu"... Je vous laisse imaginer notre surprise... Bon, qu'a cela ne tienne, nous continuons: tant qu'on est pas éliminé, on est en jeux!
     
    Nous croiserons le binôme de M!no que nous voyons avec stupéfaction sur la route, réplique au dos et en T-shirt... Ce détail nous incite à accélérer et nous reprenons pied sur les sentiers et parcourrons les 2 derniers kilomètres en moins d'une petite heure. La boite au lettre est trouvée au GPS et nous nous enterrons derrière dans un bosquet pour en étudier le contenu : "Vous devez être sur le pas de tir à 8h00..." comment-dire... 8h30 de retard... je crois que c'est un records... le QG nous annonce que l'objectif deux, la fameuse boite de réseau optique a saboter, est toujours en jeux! mais nous décidons de dormir un peu, car depuis notre départ la veille, nous n'avons presque pas fait de pause.
     
    Il est 18h30 quand nous reprenons la route! Cette fois, on fonce! Il nous faudra1h15 pour rejoindre a nouveau la crête en passant par des sentiers peu usité et en évitant les pistes et les GR! Cependant, nous accusons la fatigue... A mi-chemin, nous croisons les Delta Corses qui semblent, eux-aussi, franchement épuisés. Il est 19h45 quand nous arrivons sur la crête et que nous commençons à progresser, GPS en main, à la recherche de la boite! A 20h00, je sors ma trousse a outils et, pendant que Black fait pression sur le couvercle au cas où elle serait piégé, je dévisse ce dernier. À 20h15, j'ai enfin réussi a couper se putain de câble en fibre optique avec le multi-tool de merde de mon binôme... Un message nous intime de rester sur place, un partisan arrive...
     
    Nous nous enterrons dans les pins qui jouxte la boite, bien décider a vendre chèrement notre peau s'il s'agissait d'un piège. Presque 40 minutes plus tard : "Bravo! Vous êtes où?" Je me positionne en soutien et Black sort de sa cachette. Un court instant plus tard, il m'intime de sortir a découvert : l'OP est finie pour nous, nous devions intercepter un transport de document à 20h30 en bas, dans la vallée : échec mission...
     
    Rétrospectivement, que dire de cet Opus? Déjà qu'il fût riche en émotion! Que l'Orga est attentif et ne tente pas de baiser ses joueurs, bien au contraire! Bref, niveau BSO, rien a dire, pas a se plaindre!
     
    D'un point de vue personnel maintenant : physiquement, mentalement, techniquement, nous étions prêt! Malgré plus de 80% du chemin hors sentiers, pas UNE seule blaire topo, pas une seule fois nous n'avons été vu et nous avons réussi a faire tenir le physique malgré le manque de sommeil, le dénivelé et l'absence de sentier praticable! Notre erreur fût stratégique, cette année encore! Mais on apprend! Petit à petit, on apprend!
     
    Petite consolation tout de même : nous sommes l'avant-avant dernier binôme en jeux avant élimination! C'est con, mais pour nous, au vu des efforts déployés, ça compte!
  21. J'aime
    CamS a réagi à Trojan dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    Un grand bravo encore pour toute cette OP, l'intro a été magistrale, le scénario et votre jeu d'acteur ont été parfaits
     

    Bravo pour l'OP
     
    Arrivé sur site.
    Après un départ à 18h00 de notre bonne chère Alsace, nous arrivons enfin sur le lieu de rendez-vous indiqué sur les coups de 15h00.  Sur place, nous ne sommes pas seuls et avons le plaisir de faire connaissance avec Snowwolf et son incollite.
    Les heures passent et les binômes arrivent. L’occasion pour nous de mettre des visages sur des pseudos, et de glaner quelques infos des anciens.
    Dernier check du matériel, finalement au vu des dernières évolutions météorologiques, on décide de virer les goretex pour rajouter 2L de flotte chacun à notre sac. Une décision qui s’avèrera déterminante pour la suite.
     
    Départ pour la mission.
    22h00. Dans la voiture, ça y est, on reçoit les coordonnées pour notre point d’insertion. Nous pointons du doigt sur la carte le lieu de rdv approximatif, départ sur les chapeaux de roue, quelques difficultés à rentrer les coordonnées dans le GPS pour plus de précision mais, après 20 minutes de route, nous arrivons sur un parking où un camion militaire nous attend.
    Ni une, ni deux, nous sortons avec le matériel et nous préparons pour l'insertion.
    Attente des derniers binômes et nous rentrons dans le camion. L’immersion est totale et l’inconfort de la route se fait sentir. Arrivé à un poste frontière, cachés sous des bâches, nous sentons que les russes sont sous pression et le passage de la frontière ne se fait pas sans soucis.
     
    Briefing.
    Finalement, nous débarquons dans un bunker. Nous laissons notre matériel et entrons dans le dédale de tunnel. Nous arrivons dans un cul de sac où sont disposés un tableau de briefing. Le briefing commence, le ton est donné, on n’est pas là pour rigolé. Quand soudain, une explosion se fait entendre.

    Le BUNKER EST PRIS D’ASSAUT par les forces russes. Sans notre matériel, nous sommes évacués par la résistance vers le camion. Nous montons rapidement dans celui-ci dans le désordre. Le camion démarre, arrive à un virage et se prend une grenade mais poursuit néanmoins sa route.
    Ce n’est que quelques centaines de mètres plus loin qu’il s’immobilise, la grenade a fait des dégats.
    Nous descendons dans le calme, chacun récupérant ses affaires.
    Nous recevons l’ordre de nous cacher, un message nous sera envoyé durant la nuit.
    L’air un peu amer, notre incursion a valu de nombreuses pertes du côté de la "résistance" et nous avons une petite pensée pour ceux qui se sont sacrifiés.
    Il est minuit et nous avançons dans la nuit noire et l’inconnu livrés à nous même.
     
    Première nuit.
    Nous commençons à avancer sur une route de montage avec d’autres binômes. Il est indispensable de nous extraire rapidement car aucun couvert ne nous est offert entre un terrain escarpé à gauche et un précipice à notre droite. Le pas est soutenu mais prudent. Tout d’un coup, des phares à l’arrière, ce sont les russes !
    Nous courrons mais rien ne nous permet de nous cacher. Nous courrons et trouvons dans un virage, un petit renfoncement dans la pente abrupte. Trojan et moi nous jetons contre la paroi. Le véhicule passe sans nous voir, on est sauvé.
    On reprend la route, Trojan me presse pour monter la paroi et quitter la route. Comment faire ? Aucun point d’accès ne nous ait offert, entre cette paroi de 3m de haut surplombé par une végétation dense.
    D’un coup, India nous indique la présence d’un véhicule dans l’autre sens. Nous nous couchons sur la face descendante de la route et nous nous laissons glisser le long de la pente. L’exercice est périlleux mais le véhicule repasse sans nous détecter.  
    Tant pis pour l’accès, on décide d’escalader la paroi. Au bout d’une demi-heure d’escalade, après avoir parcouru quelques dizaine de mètres, nous nous posons à l’abri dans une clairière sur un espèce de petit plateau.
    Nous nous posons en attente d’instruction. Sur les coups de 1h00, nous recevons un message avec les coordonnées d’une boite aux lettres.
    Nous commençons la progression mais vu le terrain très accidenté et de l’obscurité quasi totale qui rendent l'avancée très très lente, nous décidons d’attendre les premières lueurs pour continuer. D’autant que les patrouilles circulent. Nous nous posons, au calme, bercés par l’odeur des herbes de Provence et sous un ciel étoilé.

     
    Récupération des infos.
     

    Point topo
    4h00 du matin, l’aube commence à pointer son nez et dévoile les reliefs escarpés. Nous devons parcourir 4,5km à vol d'oiseau avec un col à franchir. Les routes trop dangereuses nous obligent au début à prendre un terrain escarpé à la végétation dense. Nous avançons péniblement et atteignons le sommet de la crête. Nous avançons, évitant les chemins jusqu’à tomber sur une piste, oubliée de tous et ne figurant sur aucune carte. Pas de végétation couchée, aucuns cailloux retournés, nous décidons de suivre ce chemin.
    Celui-ci nous permet d’avalé les 3 km restant, même si, il se révèle par endroit dangereux et escarpé.
     

    la piste et la pente
     
    A 300m de l’objectif, nous lâchons nos sacs et nos répliques et partons avec nos ghillies à la recherche de nos objectifs. La zone est sensible car nous sommes proches d'un ruisseau qui est la seule source d’eau découverte jusque-là.
    Arrivés sur zone, rien !!
     

    Enfin si mais on a pas les yeux en face des trous...
     
    Nous cherchons et fouillons partout. Finissant par maudire l’idée de chercher une boite aux lettres vertes au milieu de tant de végétation. Désespéré, j’envoie un message au HQ et me pose. D’un coup, j’aperçois, entre un arbre et une pierre, la dite boite à lettre, nous étions passés devant plusieurs fois... Nous prenons nos instructions et rebroussons chemin pour rejoindre nos sacs.
     

    Ouf après 20 bonnes minutes enfin...
    Mission 1.
    Il est 8h00 et prenons connaissance de nos missions. La première consiste en l’assassinat d’un dignitaire religieux. Les coordonnées nous mènent à 3km de notre position.
     

    En route pour l'église
     
    Malheureusement traversant un carrefour central que nous suspectons fortement d'être contrôler par l'ennemi.
    En effet, un point central, où toutes les routes se croisent, semblant être sur une colline, on se dit que c’est un parfait endroit pour cueillir les indésirables de passage.
    Pas le choix, nous devons faire un détour. On finit de se restaurer et nous mettons en route. Le hors-piste est difficile et nous progressons péniblement. La population locale profitant des beaux jours, nous sommes obligés de nous cacher afin qu’elle ne prévienne pas les autorités russes du coin.
     

    reprise d’énergie


    la météo annoncée comme orageuse, un bon gros cagnard ouais!
     
    Nous sommes à environ 150 m de l’objectif. Je fais quelques réglages avant de me rendre vers le pas de tir. Quand soudain ! SMS, cible abattue !!
    Nous restons en standby. L’activité s’accroit autour de nous, nous entendons des tirs et quelques cris.
    Au final nous rebroussons chemin nous posons sur une butte et en profitons pour nous reposer un peu.
     
    Mission 2.
    15h16. Nous recevons les coordonnées de la mission 2. Il s’agit pour nous de saboter des boitiers de fibres optiques afin de couper les communications de nos opposants.
    Notre objectif n’a beau être qu’à 1000 m à vol d'oiseau. La route directe passe par la zone contrôlée et se situe en crête (650m de dénivelé positif !).
    Nous reprenons la marche. Un petit détour s’est révélé au final une option nécessaire. En effet, nous avons évité pas loin de 3 véhicules qui arrivent de la zone dangereuse, dont celui de nos amis belges...
     

    nous redoublons de vigilance en traversant les chemins
     
     

    car les russes patrouillent activement...
     
    Arrivés à 300 m de l’objectif et après un effort assez intense nous voyons notre eau atteindre un niveau assez bas. Un point topographique nous révèle un ancien chemin forestier. Celui-ci menant directement à la source repérée plus tôt.  Nous droppons nos sacs prêt de ce chemin et continuons avec les outils nécessaires au sabotage.
    200 m avant la ligne de crête, désespoir, une barre rocheuse de 2m de haut que nous finissons par la franchir via un goulet très raide, nous sommes à la limite de l'escalade. A 19h05, fibre coupée! Nous redescendons récupérer nos sacs avec une pochette et un dossier.
     

    la balise
     
     
    Récupération de l’eau.
    Fatigués et assoiffés, nous prenons connaissance de nos objectifs. Le dossier comprend un petit fichier, ainsi que les photos et les coordonnées de notre cible.
     

    sourire de la cible qui nous nargue, il sait sans doute déjà que nous ne l'aurons pas ^^
     
     
    Ça y est, nous la tenons. Le tir est programmé à 7h45, nous n'avons plus assez d'eau pour arriver au bout d'une éventuelle extraction et décidons de prendre le risque de nous rendre à la source faire le plein. Il s’agit d’un gros risque mais nos réserves critiques nous y obligent.
    Dans l'intervalle nous recevons un message comme quoi une des cibles de ce matin n’a pas été abattue ! Nous devons l’intercepter vers 20h00 assez loin de nos coordonnées du moment...
     

    il y a un choix à faire
     
    Etant donné que nous avons toutes les infos nécessaires au tir du lendemain, nous nous disons que cet objectif ne nous apportera pas plus d’info pour le tir final et le qualifions de facultatif et secondaire. De plus, nous avons absolument besoin d’eau. Nous décidons de continuer vers la source.
    Quelques kilomètres et 2 véhicules esquivés plus tard. Nous arrivons à la source.  Nous filtrons, faisons le plein et profitons pour nous faire une bonne restauration. Le moral et l'énergie sont à nouveau au plus haut, nous avons retrouvé notre mordant.
    Puis nous partons rejoindre les coordonnées indiquées pour l'embuscade. La nuit est maintenant complètement tombée. Je reçois un message du HQ nous demandant notre situation et répond que nous allons bien.
     

    nous faisons le plein d'eau et retrouvons le sourire
     
     
    Fin de mission.
    Nous nous rendons proches de notre point de tir et commençons à prendre un repos bien mérité. Je reçois un message du HQ et m’apprête à leur répondre quand ce dernier m’appelle.
    Après quelques échanges nous leur disons que nous n'avons pas fait la 3ème mission et que nous sommes en attente du tir final le lendemain.
    Ce dernier nous signale alors la fin de l’aventure car cette mission d'interception n'avait pas le caractère facultatif que nous lui pensions.
    Il est environ minuit, nous nous postons en bord de route dans l'attente de notre extraction.

    Au final, sur l'instant pas réellement de regrets même si avec le recul nous pensons avoir manqué de lucidité avec les efforts et la fatigue cumulées. Première plume blanche avec une méconnaissance de la topographie plus difficile encore qu'anticipée et de l'effort global à fournir. Point de satisfaction nous n’avons pas été détectés par un groupe ennemi.  De plus avons parcouru environ 23km et 1400 m de dénivelé positif en 24h, c’est pas mal avec 15 à 20 kg de matos sur le dos.

    En montant dans le véhicule, nous apprenons que nous sommes l’avant dernier groupe en jeu et qu’avec notre sortie, un seul binôme aura l'occasion de faire le tir.


    Encore un grand MERCI aux organisateurs pour tout et bravo Kilo, c'est quelque chose de finir une Plume
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    CamS a réagi à Strike dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    En effet les feedbacks sont passionnants ! merci à tous pour vos récits et vos commentaires... c'est très appréciable pour nous, ça nous aide aussi à mieux comprendre ce qui a fonctionné et ce qui coince. Vivement la suite

    pour la carte je viens de te l'envoyer par mp
  23. J'aime
    CamS a reçu une réaction de Strike dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    C'est long, mais ça arrive ! 
  24. J'aime
    CamS a reçu une réaction de snake dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    C'est long, mais ça arrive ! 
  25. J'aime
    CamS a réagi à snake dans Feedbacks Plume Blanche 2016   
    On veut des retex !!!!
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