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Trojan

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Trojan a gagné pour la dernière fois le 19 juillet 2016

Trojan a eu le contenu le plus aimé !

Infos

  • Team
    SAS
  • Localisation
    Strasbourg

Trojan's Achievements

  1. Un grand bravo encore pour toute cette OP, l'intro a été magistrale, le scénario et votre jeu d'acteur ont été parfaits Bravo pour l'OP Arrivé sur site. Après un départ à 18h00 de notre bonne chère Alsace, nous arrivons enfin sur le lieu de rendez-vous indiqué sur les coups de 15h00. Sur place, nous ne sommes pas seuls et avons le plaisir de faire connaissance avec Snowwolf et son incollite. Les heures passent et les binômes arrivent. L’occasion pour nous de mettre des visages sur des pseudos, et de glaner quelques infos des anciens. Dernier check du matériel, finalement au vu des dernières évolutions météorologiques, on décide de virer les goretex pour rajouter 2L de flotte chacun à notre sac. Une décision qui s’avèrera déterminante pour la suite. Départ pour la mission. 22h00. Dans la voiture, ça y est, on reçoit les coordonnées pour notre point d’insertion. Nous pointons du doigt sur la carte le lieu de rdv approximatif, départ sur les chapeaux de roue, quelques difficultés à rentrer les coordonnées dans le GPS pour plus de précision mais, après 20 minutes de route, nous arrivons sur un parking où un camion militaire nous attend. Ni une, ni deux, nous sortons avec le matériel et nous préparons pour l'insertion. Attente des derniers binômes et nous rentrons dans le camion. L’immersion est totale et l’inconfort de la route se fait sentir. Arrivé à un poste frontière, cachés sous des bâches, nous sentons que les russes sont sous pression et le passage de la frontière ne se fait pas sans soucis. Briefing. Finalement, nous débarquons dans un bunker. Nous laissons notre matériel et entrons dans le dédale de tunnel. Nous arrivons dans un cul de sac où sont disposés un tableau de briefing. Le briefing commence, le ton est donné, on n’est pas là pour rigolé. Quand soudain, une explosion se fait entendre. Le BUNKER EST PRIS D’ASSAUT par les forces russes. Sans notre matériel, nous sommes évacués par la résistance vers le camion. Nous montons rapidement dans celui-ci dans le désordre. Le camion démarre, arrive à un virage et se prend une grenade mais poursuit néanmoins sa route. Ce n’est que quelques centaines de mètres plus loin qu’il s’immobilise, la grenade a fait des dégats. Nous descendons dans le calme, chacun récupérant ses affaires. Nous recevons l’ordre de nous cacher, un message nous sera envoyé durant la nuit. L’air un peu amer, notre incursion a valu de nombreuses pertes du côté de la "résistance" et nous avons une petite pensée pour ceux qui se sont sacrifiés. Il est minuit et nous avançons dans la nuit noire et l’inconnu livrés à nous même. Première nuit. Nous commençons à avancer sur une route de montage avec d’autres binômes. Il est indispensable de nous extraire rapidement car aucun couvert ne nous est offert entre un terrain escarpé à gauche et un précipice à notre droite. Le pas est soutenu mais prudent. Tout d’un coup, des phares à l’arrière, ce sont les russes ! Nous courrons mais rien ne nous permet de nous cacher. Nous courrons et trouvons dans un virage, un petit renfoncement dans la pente abrupte. Trojan et moi nous jetons contre la paroi. Le véhicule passe sans nous voir, on est sauvé. On reprend la route, Trojan me presse pour monter la paroi et quitter la route. Comment faire ? Aucun point d’accès ne nous ait offert, entre cette paroi de 3m de haut surplombé par une végétation dense. D’un coup, India nous indique la présence d’un véhicule dans l’autre sens. Nous nous couchons sur la face descendante de la route et nous nous laissons glisser le long de la pente. L’exercice est périlleux mais le véhicule repasse sans nous détecter. Tant pis pour l’accès, on décide d’escalader la paroi. Au bout d’une demi-heure d’escalade, après avoir parcouru quelques dizaine de mètres, nous nous posons à l’abri dans une clairière sur un espèce de petit plateau. Nous nous posons en attente d’instruction. Sur les coups de 1h00, nous recevons un message avec les coordonnées d’une boite aux lettres. Nous commençons la progression mais vu le terrain très accidenté et de l’obscurité quasi totale qui rendent l'avancée très très lente, nous décidons d’attendre les premières lueurs pour continuer. D’autant que les patrouilles circulent. Nous nous posons, au calme, bercés par l’odeur des herbes de Provence et sous un ciel étoilé. Récupération des infos. Point topo 4h00 du matin, l’aube commence à pointer son nez et dévoile les reliefs escarpés. Nous devons parcourir 4,5km à vol d'oiseau avec un col à franchir. Les routes trop dangereuses nous obligent au début à prendre un terrain escarpé à la végétation dense. Nous avançons péniblement et atteignons le sommet de la crête. Nous avançons, évitant les chemins jusqu’à tomber sur une piste, oubliée de tous et ne figurant sur aucune carte. Pas de végétation couchée, aucuns cailloux retournés, nous décidons de suivre ce chemin. Celui-ci nous permet d’avalé les 3 km restant, même si, il se révèle par endroit dangereux et escarpé. la piste et la pente A 300m de l’objectif, nous lâchons nos sacs et nos répliques et partons avec nos ghillies à la recherche de nos objectifs. La zone est sensible car nous sommes proches d'un ruisseau qui est la seule source d’eau découverte jusque-là. Arrivés sur zone, rien !! Enfin si mais on a pas les yeux en face des trous... Nous cherchons et fouillons partout. Finissant par maudire l’idée de chercher une boite aux lettres vertes au milieu de tant de végétation. Désespéré, j’envoie un message au HQ et me pose. D’un coup, j’aperçois, entre un arbre et une pierre, la dite boite à lettre, nous étions passés devant plusieurs fois... Nous prenons nos instructions et rebroussons chemin pour rejoindre nos sacs. Ouf après 20 bonnes minutes enfin... Mission 1. Il est 8h00 et prenons connaissance de nos missions. La première consiste en l’assassinat d’un dignitaire religieux. Les coordonnées nous mènent à 3km de notre position. En route pour l'église Malheureusement traversant un carrefour central que nous suspectons fortement d'être contrôler par l'ennemi. En effet, un point central, où toutes les routes se croisent, semblant être sur une colline, on se dit que c’est un parfait endroit pour cueillir les indésirables de passage. Pas le choix, nous devons faire un détour. On finit de se restaurer et nous mettons en route. Le hors-piste est difficile et nous progressons péniblement. La population locale profitant des beaux jours, nous sommes obligés de nous cacher afin qu’elle ne prévienne pas les autorités russes du coin. reprise d’énergie la météo annoncée comme orageuse, un bon gros cagnard ouais! Nous sommes à environ 150 m de l’objectif. Je fais quelques réglages avant de me rendre vers le pas de tir. Quand soudain ! SMS, cible abattue !! Nous restons en standby. L’activité s’accroit autour de nous, nous entendons des tirs et quelques cris. Au final nous rebroussons chemin nous posons sur une butte et en profitons pour nous reposer un peu. Mission 2. 15h16. Nous recevons les coordonnées de la mission 2. Il s’agit pour nous de saboter des boitiers de fibres optiques afin de couper les communications de nos opposants. Notre objectif n’a beau être qu’à 1000 m à vol d'oiseau. La route directe passe par la zone contrôlée et se situe en crête (650m de dénivelé positif !). Nous reprenons la marche. Un petit détour s’est révélé au final une option nécessaire. En effet, nous avons évité pas loin de 3 véhicules qui arrivent de la zone dangereuse, dont celui de nos amis belges... nous redoublons de vigilance en traversant les chemins car les russes patrouillent activement... Arrivés à 300 m de l’objectif et après un effort assez intense nous voyons notre eau atteindre un niveau assez bas. Un point topographique nous révèle un ancien chemin forestier. Celui-ci menant directement à la source repérée plus tôt. Nous droppons nos sacs prêt de ce chemin et continuons avec les outils nécessaires au sabotage. 200 m avant la ligne de crête, désespoir, une barre rocheuse de 2m de haut que nous finissons par la franchir via un goulet très raide, nous sommes à la limite de l'escalade. A 19h05, fibre coupée! Nous redescendons récupérer nos sacs avec une pochette et un dossier. la balise Récupération de l’eau. Fatigués et assoiffés, nous prenons connaissance de nos objectifs. Le dossier comprend un petit fichier, ainsi que les photos et les coordonnées de notre cible. sourire de la cible qui nous nargue, il sait sans doute déjà que nous ne l'aurons pas ^^ Ça y est, nous la tenons. Le tir est programmé à 7h45, nous n'avons plus assez d'eau pour arriver au bout d'une éventuelle extraction et décidons de prendre le risque de nous rendre à la source faire le plein. Il s’agit d’un gros risque mais nos réserves critiques nous y obligent. Dans l'intervalle nous recevons un message comme quoi une des cibles de ce matin n’a pas été abattue ! Nous devons l’intercepter vers 20h00 assez loin de nos coordonnées du moment... il y a un choix à faire Etant donné que nous avons toutes les infos nécessaires au tir du lendemain, nous nous disons que cet objectif ne nous apportera pas plus d’info pour le tir final et le qualifions de facultatif et secondaire. De plus, nous avons absolument besoin d’eau. Nous décidons de continuer vers la source. Quelques kilomètres et 2 véhicules esquivés plus tard. Nous arrivons à la source. Nous filtrons, faisons le plein et profitons pour nous faire une bonne restauration. Le moral et l'énergie sont à nouveau au plus haut, nous avons retrouvé notre mordant. Puis nous partons rejoindre les coordonnées indiquées pour l'embuscade. La nuit est maintenant complètement tombée. Je reçois un message du HQ nous demandant notre situation et répond que nous allons bien. nous faisons le plein d'eau et retrouvons le sourire Fin de mission. Nous nous rendons proches de notre point de tir et commençons à prendre un repos bien mérité. Je reçois un message du HQ et m’apprête à leur répondre quand ce dernier m’appelle. Après quelques échanges nous leur disons que nous n'avons pas fait la 3ème mission et que nous sommes en attente du tir final le lendemain. Ce dernier nous signale alors la fin de l’aventure car cette mission d'interception n'avait pas le caractère facultatif que nous lui pensions. Il est environ minuit, nous nous postons en bord de route dans l'attente de notre extraction. Au final, sur l'instant pas réellement de regrets même si avec le recul nous pensons avoir manqué de lucidité avec les efforts et la fatigue cumulées. Première plume blanche avec une méconnaissance de la topographie plus difficile encore qu'anticipée et de l'effort global à fournir. Point de satisfaction nous n’avons pas été détectés par un groupe ennemi. De plus avons parcouru environ 23km et 1400 m de dénivelé positif en 24h, c’est pas mal avec 15 à 20 kg de matos sur le dos. En montant dans le véhicule, nous apprenons que nous sommes l’avant dernier groupe en jeu et qu’avec notre sortie, un seul binôme aura l'occasion de faire le tir. Encore un grand MERCI aux organisateurs pour tout et bravo Kilo, c'est quelque chose de finir une Plume
  2. Trojan

    Présentation Trojan

    Il s'agit du modèle 96 la version modernisée, çà rendrait pas top sur du vietnam je pense mais les sensations doivent être les mêmes une photo de moi récente (wanagaine style) sur un terrain de speedball qui est assez sympa, c'est bien pour travailler la technique individuelle car les erreurs de placements se payent cash, mon équipe fait partie d'un CSA nous jouons sur un terrain militaire fermé, je ne sais pas combien il fait en surface, il faut en gros 15-20min de marche normale pour aller d'un bout à l'autre de la zone qui nous est autorisée via chemin de terre
  3. Salut Je m'appelle Trojan c'est en référence à mon travail et au label musical, 38 ans, je suis technicien de maintenance informatique dans un groupe bancaire et suis basé à Strasbourg. Je joue depuis 2008 dans une équipe qui s'appelle SAS (Salopard Airsoft Squad) http://www.teamsas.fr/ Dans l'airsoft j'aime le sport de plein air, l’adrénaline de l'engagement à la bille et surtout le jeu en équipe (sans rigueur) avec son effet meute/étau qui se resserre. Niveau équipement j'ai fait ma petite vie et conservé 3 répliques, G17, M4 une amoeba à pas cher et une Stoner 96 LMG avec laquelle j'ai fait plusieurs BW, en tenue DPM à la base puisque c'est le camouflage historique de l'équipe, un peu de marpat, j'ai aussi du russe dont j'adore la coupe ample, super confortable et camo performant avec du partizan et du partizan M qui est en route... Je trouve mon compte en jouant un peu tout les styles, de la speed game dominicale à l'OP européenne dite "milsim", j'ai fait quelques randos/airsoft, sous forme d'insertion qui finissait sur un terrain d'airsoft dans le grand Est, chose qui ne se fait plus de nos jours, avec mon équipe la plupart du temps ce sont des jeux à élimination directe où le collectif est mis en avant En autre loisir j'aime le sport d'endurance, la rando et le bivouac pour compléter j'aime les fondues, le rock avec un peu de reggae, j'ai une soeur assez jolie, elle vie à Sydney
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